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La double attaque terroriste toujours en vedette dans les quotidiens burkinabè

Burkina-Faso - Societe
Les quotidiens burkinabè de ce mardi continuent de décrypter l’actualité nationale marquée par les attentats terroristes perpétrés, il y a quatre jours, à Ouagadougou.
«Attaques terroristes du 2 mars: le G5 Sahel et le CEDEAO au chevet du Burkina», arbore le quotidien national Sidwaya, informant que les présidents nigérien, Mahamadou Issoufou et togolais, Faure Gnassingbé, étaient hier lundi 5 mars à Ouagadougou.

Le journal souligne que les deux chefs d’Etat étaient auréolés de leurs casquettes de présidents en exercice respectifs du G5 Sahel et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO).

C’est à juste titre que le journal Le Quotidien affiche: «Attaques terroristes du 2 mars 2018 à Ouaga: les présidents Gnassingbé et Issoufou expriment la solidarité de la CEDEAO et du G5 Sahel au peuple burkinabè».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, fait observer que «Faure et Issoufou sèchent les larmes de Roch».

Quant à Le Pays, il reprend en manchette, ces propos du président nigérien Mahamadou Issoufou : «le terrorisme n’a pas d’avenir dans notre région».

Pourtant, ce quotidien privé, dans son commentaire ‘’Droit dans les yeux’’, relève la récurrence des attaques terroristes à Ouagadougou et estime qu’«on est mal barré».

De son côté, Aujourd’hui au Faso, à travers son titre : «Polémique cadavérique, Big Brother et plan de riposte», croit savoir que «l’attaque du 2 mars contre le cœur de l’armée burkinabè et l’ambassade de la France révèle que les assaillants, les milices, les mercenaires, quel que soit le nom qu’on leur donne, ne sont plus recrutés à l’extérieur des frontières du Burkina».

Dans sa rubrique ‘’News du jour’’, Aujourd’hui au Faso pose la question suivante: «Des soupçons de complicité dans l’armée ?».