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La crise complexe du système d’approvisionnement médical des populations et le dilemme du traitement médical des dirigeants africains en Occident (Deuxième partie)

   La crise complexe du système d’approvisionnement médical des populations et le dilemme du traitement médical des dirigeants africains en Occident

Deuxième partie : Les insuffisances dans la planification des politiques de santé

La crise complexe du système d’approvisionnement médical

Que diantre cette illusion existentielle au nom de quoi des crimes imaginables sont inutilement commis! Les anciens philosophes ne résumaient–ils tristement pas la vie de l’homme en trois mots " naître, souffrir, mourir " ? L’être-humain tel un appareil a des dysfonctionnements dont il souffre à des moments donnés de sa vie. La maladie précède aussi le plus souvent la mort. Celle-ci intervient lorsque les importants organes de l’homme cessent de fonctionner ou par arrêt de la division cellulaire. La longévité de l’homme semble influencée à la fois par des facteurs endogènes génétiques et par des facteurs exogènes tels le style de vie, l’alimentation, les conditions de l’hygiène, la prévention et la surveillance médicale ainsi que la pratique du sport ou en gros le mouvement.

Il n’y a rien de plus tragique qui puisse arriver à un peuple s’il ne peut se vêtir, se nourrir et surtout se soigner. Il est important pour tout pouvoir conscient bien intentionné et animé par le désir de contribuer au bien-être de son peuple de s’efforcer pour que son peuple mange à sa faim et qu’il ait suffisament accès à des soins de santé. Le système d’approvisionnement médical déjà médiocre depüis l’indépendance et qui n’a véritablement pas été efficace est traversé aujourd’hui par une crise dont la multiciplicité de ses dimensions est un casse-tête chinois quant à sa résolution. En marge du sujet, il semble opportun de mentionner ici qu’en dépit des affirmations comme quoi la colonisation a été un bienfait pour l’Afrique, une idée que d’aucuns voudraient même en faire une loi au parlement dans un soi-disant pays d’égalité, fraternité, liberté et dont les dirigeants maintiennent encore toute honte bue des dictatures sanguinaires en Afrique en totale contradiction avec la dignité humaine, elle n’avait servi qu’à l’enrichissement des pays colonialistes et esclavagistes. Même, les infrastructures mises en place n’avaient pour objectif que de permettre l’écoulement des matières premières vers les métropoles étrangères. Au même moment, on avait soigneusement anticipé d’empêcher que les pays colonisés s’industrialisent à long terme parce que programmés à jouer pour toujours un rôle de fournisseurs de matières premières sans pouvoir développer leur propre capacité de production et de transformation. Et ceci fait une grande différence à la colonisation japonaise ! Ainsi à la fin de la colonisation, il n’y avait pratiquement d’infrastructures dignes de nom, d’hôpitaux équipés comme dans les métropoles étrangères, ni des cadres bien formés pour prendre la relève. C’est dans ce contexte sciemment calculé que l’indépendance fut accordé et on avait pris soin d’éliminer plus tôt les leaders imprégnés des idées nationalistes et du bien-être de leurs peuples pour les faire remplacer par des ignares incapables de quoi que ce soit.

La crise d’approvisionnement médical impliquant plusieurs aspects est elle-même une conséquence des crises socio-politico-économiques et de conscience, qui font toujours rage en Afrique notamment celle dite francophone. Crise sociale parce que la population est laissée-pour-compte; crise politique, parce qu’il faut une stabilité politique pas celle maintenue avec les armes sous des dictatures fascistes ou avec des fraudes électorales (on croit tout bonnement qu’il faut un contrôleur pour les sauvages que les nègres sont!); crise économique parce que le continent africain n’a pas encore de politique économique autonome, se trouvant en permanence sous le contrôle économique des anciennes forces colonialistes avec des institutions internationales taillées sur mesure pour suivre son développement pour en fait sans pitié préserver le statut-quo; crise de conscience parce qu’ une bonne partie de la classe intellectuelle, pourtant bardée de diplômes universitaires donc hautement qualifíée mais résignée s’est transformée en une " intellocratie " alimentaire.

En termes simples et accessibles et sans détails, une économie nationale ne peut fonctionner avec succès lorsqu’à la fois tout un ensemble de facteurs d’ailleurs interdépendants (par exemple, facteur homme, facteur capital, facteur production) considérés et tous les secteurs d’activité donnent au plan collectif des rendements positifs. Lorsqu’un trou se creuse quelquepart de façon significante, elle peut sévèrement en être affectée. C’est le rôle du leadership soutenu par les institutions du pays (par exemple, les instituts de prévison économique) et tout un conseil de sages et d’experts ou de commissions spéciales y compris des professeurs d’université non seulement d’observer ou de surveiller les données économiques mais aussi de prévoir des chocs. Pour ne pas sortir du cadre du sujet, résumons que la santé économique de l’État est très importante pour qu’il puisse aisément accomplir ses nombreuses tâches y compris celle de l’établissement d’un système d’approvisionnement médical adéquat de la population.

Pour traiter la maladie, il faut des médicaments. Or l’Afrique, dans une grande mesure, demeure incapable de produire des médicaments qui sont le résultat de la recherche et de l’innovation et se trouve obligée selon le schéma colonial et néocolonial d’importer la grande partie des médicaments qui sont indispensables surtout qu’elle ne peut valoriser la médecine traditionnelle qui certainement a des atouts considérables. Au pire, des sociétés étrangères se permettent au nez et à la barbe des traditionalistes africains de breveter toute une gamme de plantes médicinales connues en Afrique depuis des centaines d’années.

Il incombe aux pouvoirs publics responsables la tâche de bâtir un système de couverture médicale de toute la population sans exclusions. En Afrique subsaharienne, seule une poignée de pays à l’image du Ghana ou tout récemment de la Zambie s’y efforcent vraiment. Nul n’ignore la cherté d’un système de couverture sociale et notamment médicale qui donne même du fil à retordre aux gouvernements occidentaux (chez eux, c’est un autre problème : le vieillissement de la population fait que la population active qui prend en charge les retraités est en train de diminuer dans un système dit de " Pay-As-You-Go "). Or la population africaine est dynamique et il va falloir faciliter son emploi surtout dans le secteur privé et ainsi trouver un régime médical de contribution de l’employé lui-même et aussi de l’employeur pour diminuer la charge financière de l’État. C’est ici qu’il faut encore insister sur le bon fonctionnement de l’économie vu globalement. De toute façon, il est inadmissible que l’État tombe dans la résignation sans suffisamment entreprendre quoi que ce soit en laissant la population seule face à son sort, que les citoyens meurent faute de médicaments et que les enfants et les vieux et vielles meurent sans assistance publique. Que le lecteur constate lui-même l’immensité de la tâche d’un dirigeant politique. Or nos soi-disant Chefs-d’État pensent suivant des raisonnements enfantins d’un autre âge que c’est une bénédiction divine pour sa famille ou pour son ethnie pour désormais s’enrichir, jouer au chef, se coucher avec des femmes d’autrui, jouir des honneurs et des délices du pouvoir, distribuer des prébendes et au pire dépenser les frais du contribuable pour envoyer à l’étranger des soi-disant agents membres des services secrets pour séquestrer voire empoisonner ou assassiner les soi-disant opposants dont le seul tort est d’agir sur leur conscience et les prévenir du désastre qu’ils sont en train de causer à leurs peuples. À l’heure où j’écris ces quelques lignes, la population togolaise manque d’eau potable et d’électricité, la faim sévit, les gens meurent comme des animaux dans une jungle dans un pays où dit-on il y a un Gouvernement.

La médecine dite traditionnelle est celle là que les Africains connaissaient avant l’arrivée des Blancs et leur conversion à " l’occidentalisme ", la réligion, les modes de vie étrangers etc. Tout comme la médecine scientifique, elle a la fois ses atouts et ses faiblesses et peut être capable de merveilles en termes de guérison dont la médecine scientifique ne peut que rêver. Elle se base sur les connaissances des vertues des plantes dites médicinales, connaissances qui sont transmises de générations en générations dépuis des siècles et qui vont au-delà de l’appréhension de l’être humain comme réalité matérielle, ce que la médecine scientifique feind d’ignorer. Les Allemands Thorwald Dethlefsen et Ruediger Dahleke (Docteur en médecine) dans un livre très interessant qu’eux-mêmes qualifient de non scientifique vont au delà de la rationalité pour étaler sur " l’aspect métaphysique " du phénomène maladie [1]. Contrairement aux enseignements de la médecine scientifique, ils mettent un accent particulier sur les réalités immatérielles tels l’esprit et la conscience et voient dans la plupart des maladies un trouble de l’harmonie dans la conscience au niveau de l’information et dont la manifestation concrète s’effectue au niveau du corps qui ne semble qu’être une surface de projection. Quant à Ghislaine Lanctôt dans un livre aussi interessant qui lui a coûté la dépossession de son diplôme de docteur en médecine donc le droit d’exercer son métier par les autorités officielles, elle dénonce clairement le caractère mafieux de la médecine scientifique qui au nom du profit joue avec l’ignorance de la masse [2]. Nous ne voulons ni démolir la médecine scientifique ni au risque de dépasser notre cadre de réflexion opposer la médecine traditionnelle à la médecine scientifique car cela peut faire l’objet même d’un autre article voire un livre.

Ces scientifiques précités n’enseignent rien de nouveau aux traditionalistes africains. C’est l’Africain aujourd’hui aliéné, par complexe d’infériorité et facilement faillible à toute manipulation et qui berné dans l’occidentalisme et autres valeurs extérieures cesse de réfléchir pour lui-même allant même jusqu’à couper à la fois avec ses propres racines et ses ancêtres. Comme des perroquets, ils crient à longueur de journées dans les églises sans même une fois chercher à savoir l’origine des soi-disant livres saints et la nature des récits qui y sont contenus fatalement croyant jouer aux bons enfants de Dieu qui entreront au paradis et vilipendant d’autres qui pensent autrement comme des associés de Lucifer qu’il faut à tout prix éviter et qui périront en enfer selon la lecture sans faute de leurs maîtres enseignants. Ce qui est curieux, leur Dieu des églises ne les avait ni sauvés contre le crime de l’esclavage qui avait fait des millions de morts parmi eux ni ne les a encore délivrés de la misère et des souffrances qui font leur lot quotidien. Apparemment, ils vivront heureux dans les cieux, bonne chance ! À mon entendement, rien ne pourra marcher pour un peuple qui coupe les liens avec ses propres ancêtres.

Les traditionalistes et autres chamans africains savent l’origine éthérique de nombreuses maladies, ce qui constitue un atout considérable par rapport à la médecine scientifique qui ne se base apparemment que sur le concret. Certes, la médecine traditionnelle particulièrement dans les grandes villes ou agglomérations urbaines par complexe d’infériorité semble généralement négligée ou ignorée à qui on a recours en dernier ressort lorsque les traitements médicaux ne laissent plus présager du succès. Au pire, elle semble délaissée par les pouvoirs publics. Seul le Gouvernement d’Afrique du Sud semble vraiment promouvoir la médecine traditionnelle. Elle est en outre infiltrée par des opportunistes de tout genre se réclamant être des guérisseurs traditionnels ou des charlatans avec des connaissances non approfondies en la matière ou carrément des malfaiteurs cherchant tout simplement le chemin facile de l’enrichissement. Au Togo ou au Bénin, les véritables guérisseurs traditionnels se comptent sur les doigts.

Enfin, à l’image de l’industrie chinoise, la médecine chinoise est en train de conquérir du terrain en Afrique avec des médicaments moins onéreux que ceux des Occidentaux et donc plus abordables aux populations africaines. Elle constitue une des alternatives face à la crise d’approvisionnement médical des populations.

L’approvisionnement parallèle

La floraison de l’approvisionnement parallèle est aussi une conséquence de la défaillance du système d’approvisionnement organisé par l’État. Quand les populations sont des laissés-pour-compte et que l’État semble démissionner pour leur permettre un minimum de confort et du bien-être, elles se trouvent obligées de se débrouiller notamment sur le marché informel dans le sens " sauve-qui-peut ". Souvenons nous qu’avec la dévaluation ou une série de dévaluations dans d’autres pays, les salaires n’ont pas été ajustés ou suffisamment ajustés pour compenser la perte du pouvoir d’achat de l’Africain moyen. Au pire, avec l’inflation courante, la monnaie a perdu son pouvoir réel. Il y a lieu ici d’avertir que la dévaluation de la monnaie dont on nous chante qu’elle a pour but de relancer les exportations ne peut adéquamment jouer cette fonction si d’autres facteurs par exemple le coût des importations des " input " ne sont pas suffisamment pris en compte surtout dans une Afrique qui importe presque tout. C’est pourquoi, il n’est pas irrationnel de dire que la dévaluation dans un pays développé ne peut produire les mêmes effets que celle dans un pays sous-développé comme les nôtres. La dévaluation du FCFA qui a été une décision purement politique a été un désastre pour les populations. Avec la baisse du pouvoir d’achat, l’incapacité de l’État de payer les fonctionnaires parfois des mois durant les soi-disant arrierés de salaires, la dégradation générale de l’économie et pour corollaire l’augmentation de la misère et l’appauvrissement généralisé, la masse d’Africains n’a plus les moyens financiers pour se pourvoir des médicaments dans les pharmacies où d’ailleurs de simples médicaments manquent si on a de la chance qu’elles ne sont pas vides. Puisque le marché parallèle échappe plus ou moins au contrôle étatique, les malfaiteurs en profitent pour y offrir toutes sortes de médicaments contrefaits. Tant pis, les dégâts qu’ils causent en termes de complications de maladies ou même la perte de vie ! Seul le profit compte. Il n’est pas exagéré de dire que l’Afrique est le continent de prédilection de faux médicaments ou de médicaments trompe-l’oeil ou encore des médicaments périmés artificiellement remis à jour par une nouvelle étiquette par les firmes étrangères malfaitrices. Les laboratoires de contrôle de médicaments sont soit abscents ou soit manquent eux-mêmes de moyens matériels pour être efficacement opérationnels. Les efforts pourtant louables de l’Inter-Ordre des Syndicats des pharmaciens africains (ISPHARMA) à la tête duquel se trouve aujourd’hui le docteur congolais Boniface Okouya notamment contre la vente illicite de médicaments ne semblent pas encore produire des résultats positifs. Des fragments d’images que j’ai encore en mémoire sur deux reportages que j’ai suivis à la télévision consacrés à la problematique de faux médicaments en Afrique me donnent encore des frissons dans la peau. Que c’est incroyable ! En plus, les Africains ont copié par complexe d’infériorité les modes de vie des Européens sans avoir les mêmes moyens comme en médecine. Le cancer fait aujourd’hui rage en Afrique et les maladies dites de civilisation tel le diabète ou " la tension " y érigent de plus en plus leur domicile.

Du chaos dans les hôpitaux africains

Le traitement dans les hôpitaux en Afrique est une question de vie ou de mort. En effet, les hôpitaux en Afrique hormis quelques exceptions sont pratiquement des mouroirs spécialement pour les pauvres. Ils manquent d’équipements modernes. L’état avancé du délabrement de certains (tel un CHU de Kinshasa) donne même de la nausée. Le bâtiment hospitalier n’inspire pshychologiquement aucune confiance au patient. Les conditions hyégéniques laissent à désirer. C’est parfois là-même où on vient contracter d’autres maladies infectueuses. Le personnel traitant démotivé est à la débrouille et cherche la moindre occasion pour chercher un emploi ailleurs tout particulièrement en Occident. Dans certains cas, le manque d’équipements est tellement sévère que des associations médicales volontaires ou mieux dit des équipes de médecins étrangers par générosité viennent installer des campements provisoires avec le matériel nécessaire pour effectuer des opérations sur des malades. Face à l’abandon de l’État, on recèle aussi des cas où des particuliers y inclus parfois des médecins par solidarité fraternelle font des contributions financières volontaires pour soutenir une opération médicale urgente sans laquelle la mort biologique du malade n’est qu’une question de jours voire d’heures. Les responsables politiques eux-mêmes sont moins soucieux projettant se soigner en cas de maladie en Occident. Nous sommes aussi informés que le traitement n’est pas égalitaire et que les citoyens les plus nantis qui, à défaut de se faire traiter en Europe ou aux États-Unis, ont plus d’avantages que les plus pauvres.

En plus, comme à l’image des dirigeants eux-mêmes, on décèle un manque d’éthique et d’intégrité chez certains médecins qui, à en croire les gens du milieu médical même, font le commerce avec les quelques rares médicaments que l’État prévoit pour les malades. Il y a lieu de rappeler une fois encore que le comportement de l’élite dirigeante a une incidence sur celui des citoyens. Un comportement non exemplaire en termes d’éthique démotive non seulement les citoyens mais les pousse également à se comporter en opportunistes selon le principe " si eux en haut volent et confisquent toutes les richesses de l’État, suis je un con à ne pas faire de même comme eux." Rappelez vous selon les propres affirmations de Feu Mobutu, lorsqu’il demandait à son directeur de cabinet de lui mettre à disposition une somme, celui-ci demandait le double de cette somme au ministre des finances qui à son tour demandait le double à la banque centrale etc. De même un " je-m’en-foutisme " ou un brigandage ou encore une voyoucratie à la tête de l’État ne sert pas d’encouragement aux citoyens démotivés à remplir leurs obligations de taxes. Autrement dit, les citoyens paient bravement leurs taxes s’ils sont convaincus que cet argent va être utilisé pour le bien de la communauté nationale. Nous sommes donc informés du système de marchandage qui existe dans certains hôpitaux en Afrique pour que des citoyens soient efficacement ou non traités. Bien sûr, les plus pauvres que constitue la majorité des citoyens en fait les frais.

Dautre part, il est aussi courant que pour certaines opérations, c’est le patient lui-même qui doit aussi acheter tout le matériel nécessaire. À défaut, il meurt inutilement et silencieusement. Je me rappelle le cas de ma regrettée mère en farveur de qui tout le matériel pour son opération à Lomé fut acheté en Europe parce qu’elle avait la chance d’avoir des enfants éparpillés en Europe et aux États-Unis. Pour la majorité des frères et soeurs qui n’ont pas cette chance, la mort dans l’immédiat aurait été certaine. C’est ici qu’il faut saluer le rôle de la diaspora africaine en Occident qui envoie par le truchement de la Western Union et d’autres institutions financières à la fois d’immenses sommes et de médicaments pour porter assistance à leurs proches restés en Afrique, assistance sans laquelle l’espérance de vie serait encore plus bas.


[1] Thorwald Dethlefsen, Ruediger Dahleke, " Krankheit als Weg " (la Maladie comme Voie) Bertelsmann Verlag, 2001.
[2] Ghislaine Lanctôt, " The medical Mafia " self published, 2002.

Vienne – Autriche, 11 Mai 2007
Par Kofi Asike

NB: Il reste encore une troisième partie.