Réformes politiques : Faure entre l’enlisement et la sortie honorable, lit-on à a Une de LA DEPECHE, Hebdo.
Selon le journal, le Togo à l’instar des autres pays et ceux qui l’entourent a besoin des réformes politiques pour avancer.
Pour la Dépêche, "ces réformes récurrentes sont inscrites dans les 22 engagements signés avec l’Union européenne en avril 2004, dans l’accord politique global (APG), dans les conclusions de la CNDH, dans les recommandations de la CVJR et bien d’autres commissions mises en place par le gouvernement du Père comme du fils".
"Les Togolais sont un peuple martyr et il est temps d’abréger ses souffrances. Faure doit prendre la mesure du péril qui guette notre pays. Nous l’invitons à un sursaut national car il sera seul à répondre devant l’histoire", écrit la Dépêche.
Rebondissement dans l’affaire des incendies : Une énième comédie de justice.
"L'opinion nationale en était là avec un crime odieux qui restera impuni, quand la nouvelle de la levée des inculpations de certains responsables du CST est tombée le 10 mai dernier", rapporte le journal.
La Dépêche se demande : quel sens donner à ces levées d’inculpations ? Le gouvernement veut-il jouer à l’apaisement ou s’agit-il d’une diversion comme on sait bien le faire ?
"Quoiqu'on fasse, l’affaire des incendies est une arête dans la gorge de Faure et son clan pour longtemps", note le journal.
Gouvernance par la charité : Faure Gnassingbé dans le rôle parfait d’une Ong mobile, affiche à sa Une, LIBERTE, Quotidien privé.
Selon le journal, "l’une des dernières illustrations qui défraie la chronique, c’est sans doute l’ambulance offerte lundi dernier au CHR de Tsévié et dont la cérémonie a mobilisé tous les cadres et populations de la localité".
"Avec ses nombreux gestes systématiques à l’endroit des populations, la gouvernance de Faure Gnassingbé se réduit carrément à l’assistanat, et lui-même est dans le rôle d’une Ong de bienfaisance", développe Liberté dans ses colonnes.
Injustice au Togo : Un tradithérapeute arbitrairement détenu à la prison civile de Lomé, fait savoir le journal.
Après avoir soigné une femme souffrant de goitre, un tradithérapeute du nom d’Amoussou Kodjo Joseph a été arrêté et est détenu depuis février 2016 à la prison civile de Lomé. Une curieuse affaire dans laquelle les magistrats Soumdina et Kokoroko jouent le rôle central. Et derrière le rideau, se trouve le ministre de la Justice, Pius Agbétomey, assure une source proche du dossier. Des accusations que réfute le membre du gouvernement, commente Liberté.
Gestion personnelle des cotisations des retraités de la FENARET-CNSS : Trésorier général depuis 16 ans, da Silveira Adjévi refuse de quitter et s’improvise "Fondateur" de la Fédération, informe le journal.
Les retraités du secteur privé et des agents permanents n’ont que la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) comme dernier recours pour les accompagner.
Parallèlement, la Fédération nationale des associations de retraités tributaires de la CNSS (FENARET-CNSS) a été initiée pour soutenir les retraités lors de certains évènements. Mais, écrit Liberté, contrairement aux textes de cette fédération, une seule personne fait la pluie et le beau temps et refuse de céder le poste de la trésorerie. Lundi dernier sur les écrans de la TVT, c’est da Silvera Comlan Adjévi, l’éternel trésorier général qui se dit « fondateur » de la FENARET.
SANTE EDUCATION, Hebdo également dans les kiosques titre/Comment prévenir les accidents à la maison chez les petits enfants.
Pour le journal, pour limiter au maximum les risques : il ne faut pas transvasez des produits toxiques (solvants, détergents, alcool) dans des bouteilles d’huile, d’eau minérale ou de boisson.
« Il faut toujours conserver ces produits dans leur contenant d’origine. (…). Sécurisez les prises de courant et les interrupteurs en plaçant des caches de protection », peut-on lire dans le journal.
Les problèmes d’argent : une vraie cause de divers soucis de santé, écrit Santé-Education.
Selon le journal, "l'impact des problèmes d’argent renvoie au stress et à l’anxiété, avec des effets néfastes que renforce le sentiment de perte, de contrôle. Ces effets psychologiques se traduisent par des manifestations physiques, en l’occurrence la douleur".
Santé-Education cite une étude faite en Virginie qui dit que l’insécurité économique constitue un facteur de risques de douleurs physiques et réduit le seuil de tolérance à la douleur. De plus, les personnes dans une situation financière difficile consomment beaucoup plus d’antidouleurs".
L A T
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