Dans sa parution de ce jeudi, l’Hebdomadaire FLAMBEAU DES DEMOCRATES écrit :
Travaux publics: CECO GROUP victime d’un vaste complot
Selon le journal, "un membre influent du gouvernement aurait confié dans une discussion lors d’un dîner qu’il mettrait tout en œuvre afin que Amouzou Constantin (ndlr : Directeur Général de Ceco Group) finisse un jour sur un Zémidjan au Togo. Ce que ce ministre doit savoir est que l’Etat a obligation de venir normalement en rescousse à toute grande entreprise en difficultés pour ne pas faire des chômeurs de trop dans le pays.
Le journal consacre un dossier sur Taekwondo et titre : Dossier/Taekwondo : Les dessous d’un congrès avorté, les "hors la loi " créent le bordel.
"Prévu pour se tenir le 26 septembre dernier, le congrès électif à la fédération Togolaise de Taekwondo a finalement lieu le samedi dernier sans pour autant consacrer un nouveau président à la tête de l’instance. En lieu et place d’un congrès électif, les acteurs en tenue de combat se sont offerts en spectacle déshonorant durant 8 heures d’horloge », relate l’auteur du dossier.
Concernant toujours la réalisation des infrastructures routières au Togo, Le Changement titre à sa une : Retard dans l’exécution des travaux de la voie Lomé-Vogan-Anfoin. Une lenteur qui ne s’explique pas : De la nécessité d’ouvrir une enquête pour situer les responsabilités
"Dans un état normal, lorsque le journaliste ouvre le débat sur un sujet d’intérêt national, le gouvernement ouvre une enquête pour y voir clair. Les députés de leur côté interpellent le Ministre en charge du département incriminé pour une explication, parce que le peuple doit savoir. Malheureusement dans notre pays, en lieu et place, c’est plutôt le journaliste qui a ouvert les yeux de l’autorité qui est menacé, intimidé voire traduit devant les tribunaux. Le crime de lèse-majesté reproché aux confrères de Liberté et Rendez-Vous ces derniers jours, est d’avoir dénoncé certaines personnalités qui auraient perçu une retro-commission à l’origine du retard des travaux de réhabilitation de la voie Lomé-Vogan-Anfoin. Qu’est ce qui retarde les travaux de la voie Lomé-Vogan-Anfoin confiés à l’entreprise Ceco BTP ? Le peuple veut savoir», précise le journal.
Le Rendez-vous, un autre Hebdo titre/Bafilo-Alédjo, la route de la mort, un éléphant blanc de trop : L’obstacle demeure malgré 30 milliards investis dans le contournement.
« La route du développement passe par le développement de la route. C’est de bonne guerre que le Togo s’est lancé dans la politique de réhabilitation du réseau routier. Quoi de plus louable, sauf que la face cachée de ces routes laisse à désirer. C’est ainsi que par la faveur des grés à grés et consultations restreintes dans la réalisation de certaines routes, des villas ont été offertes par certains entrepreneurs à des ministres, certaines routes n’ayant jamais respectée leur cahier de charge, ne seront jamais réceptionnées, d’autres encore à peine achevée sont en grands travaux de réparation. Ce qui nous intéresse ici est la route nationale n°1. S’il est vrai qu’elle est restée longtemps un monstre à deux têtes, il n’est pas moins vrai que la faille d’Alédjo et les monts Défalé sont les zones les plus redoutées. Pour y remédier, un contournent est ouvert, mais le monstre refuse de mourir malgré l’expertise et le savoir-faire chinois », commente le journal.
L’autre sujet abordé par Le Rendez-vous, reste celui de la bousculade à la Mecque. Il titre : Pèlerinage à la Mecque : Retour les 13,14 et 15 prochain, six morts et quatre disparus
Sur le même sujet, Le bihebdomadaire Togo Matin, consacre un article suite au dernier conseil des ministres du 07octobre dernier. Et le journal d’écrire : « Conseil des Ministres : Sept pélerins togolais décèdent à la Mecque ».
"Le Conseil des ministres s’est réuni ce 07 octobre 2015 à Lomé sous la présidence de Faure Gnassingbé. Les principales informations contenues dans les communications qui ont marqué cette réunion hebdomadaire gouvernementale évoquent essentiellement la « mort naturelle de 7 togolais à la Mecque… ", relate le journal.
Comme fait divers, Togo Matin informe qu’un professeur du British School of Lomé est assigné en justice aux Usa pour cause d’abus sexuel.
« Un professeur américain ayant servi en Afrique et particulièrement au British School of Lomé au Togo est accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec de jeunes garçons au moment où il était en fonction en Afrique », rapporte le journal citant l’Agence de presse AP.
Sur le plan politique, Le Correcteur titre : « Déconfiture généralisée dans une république en plein naufrage : Faure Gnassingbé ou l’atrophie managériale au sommet de l’Etat ».
Bon an mal an, le 3e mandat de Faure Gnassingbé à la tête du Togo à la suite des 38 ans de son père Eyadema se poursuit. Cela fait bientôt six mois que le président d’Unir s’est à nouveau imposé aux Togolais à leur corps défendant. C’est à coups de mille et une promesses qu’il a arpenté les monts et vallées à la rencontre des pauvres et misérables populations du Togo avec en prime un mandat pompeusement baptisé "mandat social. Et puis, plus rien », fait remarquer le journal.
Le même journal pour la page internationale écrit : « Un autre assoiffé de pouvoir en embuscade : Des indicateurs de la volonté d’Alassane Ouattara d’aller au-delà de son second mandat ».
2e session ordinaire de l’année ou session budgétaire : Le Budget général 2016 et le défi majeur du mandat social de Faure Gnassingbé, c’est la Une de Lé Magnan Libéré.
"Conformément à l’article 55 de la Constitution, la 2e session ordinaire de l’année s’est ouverte le mardi 06 octobre 2015 au Palais des Congrès, siège de l’Assemblée nationale. Cette rentrée sera beaucoup plus consacrée à l’étude et au vote du budget 2016. L’ouverture de cette session a connu la présence de plusieurs personnalités au rang desquelles le PM Klassou Komi, les présidents des parlements d’autres pays, tels que le Bénin, le Gabon, le Niger et la Guinée Bissau», estime l’auteur de l’article.
Dans les colonnes de Magnan Libéré, on pouvait lire également, un entretien avec Kodjovi Obilalé, ancien gardien de buts des Eperviers du Togo et auteur de "Un destin foudroyé"
LIBERTE, quotidien privé, publie une longue Interview exclusive de Jean Pierre Fabre qui dit : « Le refus de répondre aux revendications des populations va de pair avec le pillage des ressources nationales par une minorité ».
"Je sais que les prix des denrées telles que le « dowèvi », le haricot, le gari, etc., connaissent une envolée insoutenable. Comment voulez-vous qu’avec un SMIG de 35 000fcfa, un ménage puisse vivre, se nourrir, se soigner, se loger, se vêtir, se déplacer et scolariser ses enfants", se plaint Jean Pierre Fabre, président national de l’Alliance nationale pour le Changement (ANC) dans l’interview qu’il a accordée à votre journal. Plus de cinq mois après l’élection présidentielle, le chef de file de l’opposition togolaise rompt le silence en revenant sur les mobiles de ses déplacements en Europe, le dernier coup de force électoral, les débats à l’assemblée nationale, la vie chère, la mauvaise gouvernance au Togo sans oublier l’actualité au Burkina Faso ».
Liberté parle d’un accident de circulation et écrit : Drame à Djifa Kpota : Un engin des TP en déroute tue une jeune fille et cause d’énormes dégâts.
"Le malheur a frappé hier au quartier Djifa Kpota. Dans la matinée, un engin des travaux publics utilisé pour la réfection de la voie Djifa Kpota-Adakpamé a causé la mort d’une jeune fille et occasionnée d’énormes dégâts matériels. Dans tout le quartier, les riverains sont sous le choc. Ils déplorent la mort accidentelle de celle qui était pour nombre de dames du quartier, leur tresseuse. La victime était dans la vingtaine ", commente le journal.
Chronique de la Semaine de son côté, revient sur la guerre médiatique entre parti de l’opposition et titre : La guerre au sein de l’opposition bat son plein : Agbéyomé Kodjo dégaine ses « OBUTS » contre Isabelle Améganvi
Le journal dans un autre s’interroge sur l’acharnement contre les biens de feu Lieutenant Amouzou et écrit :
Pourquoi la justice togolaise s’acharne-t-elle contre les biens du feu lieutenant Amouzou Koffi ?:Après avoir arraché l’immeuble à côté de AUBA, elle se tourne vers la 2e maison située à Lomégan; Qu’a fait cet officier qui a servi la nation pour mériter ça? s’interroge le journal.
L.A T
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