L ' armée nigériane libère trois marins indiens
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Guinée Équatoriale
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Societe
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Les trois membres de l'équipage d’un bateau de transport de marchandises appelé San Miguel, propriété de la société commerciale indienne Martinez Hermanos, pris en en otage depuis le 3 janvier dernier par une bande de Nigérians, ont été libérés à la suite de l'assaut organisé par les forces armées nigérianes, a indiqué la société dans un communiqué publié, lundi.
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« Martinez hermanos notifie que ses trois employés pris en otage lors de l'attaque de leur bateau par les pirates Nigeria ont été libérés grâce à une opération commando des Forces armées Nigérianes ", indique le communiqué.
« Nous remercions toutes les personnes qui se sont impliquées pour leur libération notamment le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de Guinée équatoriale, le gouvernement Nigerian et son ambassade à Malabo», précise la source.
La libération de trois ex otages a été confirmée par l'ambassade du Nigeria à Malabo mais sans donner le nom du groupe qui retenait en otage les trois indiens, le lieu et la région ou ils étaient retenus.
L'ambassade du Nigeria a également confirmé qu'il n'y a pas eu de paiement de rançon pour leur libération. "Les trois ex otages sont déjà en Inde, ils ont été libérés par le gouvernement de Nigeria mais sans rançon" a insisté un officiel de l'ambassade du Nigeria à Malabo contacté par APA.
Les trois indiens dont le capitaine du bateau, le mécanicien et le soudeur tous de nationalité indienne et membres de l'équipage du bateau San Miguel sont désormais libres après un mois de captivité.
Le bateau San Miguel a été arraisonné le 2 janvier dernier à 20 milles de Bata, la capitale économique de guinée équatoriale en provenance de Malabo la capitale administrative de Guinée équatoriale avant de revenir au quai de Malabo le 8 janvier, sans trois membres de son équipage.
Les six membres de l'équipage rescapés qui sont rentrés avec le bateau le 8 janvier avaient déclaré que les pirates qui ont arraisonné leur bateau transportant 150 tonnes de marchandises étaient lourdement armés et parlaient anglais et Pidgin (anglais local). Les pirates exigeaient 2 millions de dollars en échange de leur libération.
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