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Agence congolaise de presse
Le gouverneur de la Province Orientale a présidé mercredi 27 aout à Kisangani une réunion d'échange entre les opérateurs économiques, membres de la FEC d'une part, la DGRPO et les Services d'assiettes, d'autre part, en vue d'harmoniser des vues sur la fiscalité en Province Orientale. A cette occasion, les représentants de différentes corporations, membres de la FEC, ont présenté leurs inquiétudes liées notamment à la taxe sur les produits cosmétiques, aux redevances à payer à la SOCODA, à la surtaxassions à l'importation des produits agricoles, dont le café, ainsi qu'aux taxes de stationnement et de déchargement perçues par la mairie de Kisangani.
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La Prospérité
Il était très attendu, depuis qu'il a été désigné à ce poste en remplacement de Mary Robinson, la grande dame Irlandaise qui, du reste, a été réorientée par Ban Ki-Moon, le Secrétaire Général de l'Onu, vers des questions de changement climatique. Said Djinnit, l'homme considéré, outre mesure, comme un dur à cuire, un habitué aux situations délicates, arrive dans les Grands Lacs à un moment crucial de l'histoire de différents pays africains, avec le petit séisme en perspective sur les éventuelles visées révisionnistes de leurs lois fondamentales. Au terme de l'Accord-Cadre d'Addis- Abeba, il aurait entre autres, pour mission, de promouvoir le dialogue politique sans exclusive. Une incise sur pied de laquelle, l'Opposition politique congolaise, la Société Civile ainsi qu'une frange modérée de la Majorité, espère qu'une brèche pourrait permettre, à court terme, de dégager un consensus, avant d'aller aux élections 2015-2016. A son agenda, M. Djinnit Said aurait prévu une rencontre, en tête-à-tête, avec Joseph Kabila Kabange, le Président de la République, l'un des signataires attitrés de l' Accord-Cadre, aux fins de se faire une idée de l'évolution de sa mise en oeuvre en RDC et dans la Région des Grands Lacs, depuis le 24 février 2013. C'est un tour d'horizon qui, au fond, s' étendrait également à toutes les questions importantes, sans oublier et l'on s'y attendait le moins, l'un des points chauds de l'actualité en RDC.
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L'Avenir
La Belgique qui a construit le chemin de fer Kinshasa-Matadi au 19ème siècle est venue s'inscrire dans le projet de la RDC qui consiste en la modernisation de son réseau ferroviaire. Venu pour la pose de la première pierre de la future chancellerie de l' Ambassade de Belgique à Kinshasa, Armand De Decker a défendu auprès du Premier ministre la candidature d'un consortium belge autour du port d'Anvers et de chemin de fer belge. Quoi de plus de normal pour un pays aussi important comme la Belgique qui connaît les forces et les faiblesses de la RDC de revenir à travers ces investissements. Ceci rencontre l'appel lancé dernièrement par le chef de l'Etat aux hommes d'affaires français leur demandant de venir investir en RDC. Si investir, en acceptant de supporter les risques de tous genres peut profiter aux populations belges et congolaises, c'est la RDC qui tire le grand bénéfice, car elle va se développer.Venu à Kinshasa pour la pose de la première pierre de la future chancellerie de l'Ambassade de Belgique à Kinshasa, Armand De Decker se devait de rencontrer les autorités du pays pour discuter sur des sujets d'intérêt commun. Fin
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