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Revue de presse du lundi 1er septembre 2014

Togo - Societe

Le scandale des 2,6 milliards de francs CFA à Ecobank est la principale question dont débattent les parutions de ce lundi.
Forum de la semaine d’entrée de jeu propose des « pistes tangibles pour cerner le complot ourdi contre Jonathan Fiawoo ».

Pour le quotidien privé, « Ecobank-Togo est complice et n’arrive pas à asseoir l’accusation pendant que les aveux de Mme mensah-Assiakoley disculpent M. Fiawoo ».

« Le drame qui se joue au niveau d’Ecobank-Togo avec pour point culminant, l’épisode du mandat de dépôt décerné contre Jonathan Fiawoo est un complot ourdi contre ce dernier », conclu le journal.

Le Combat du Peuple revient dans son « Fiawoogate » sur « le crépuscule des intouchables ».

Le journal qui se réjouit pour le fait que « le prévu s’est réalisé » présente « le mardi noir de Jonathan Fiawoo placé sous mandat de dépôt et écroué ».

« De quoi se mêle le corrupteur Rémy Moevi ? », s’interroge le Combat du Peuple en faisant part de l’échec d’un entremetteur dans le « Fiawoogate ».

Nouvelle Opinion révèle d’autres implications dans cette affaire de détournement de fonds à Ecobank-Togo avec la traque des « faussaires ».

« Silence, la traque des faussaires a commencé. Après Fiawoo et Elvire, panique dans le rang des intouchables. Plusieurs dinosaures bientôt au gnouf », écrit-il.

Politique, l’élection présidentielle de 2015 revient de plus belle dans les colonnes des journaux qui s’intéressent à l’organisation au sein de l’opposition.

« L’opposition planifie-t-elle encore une contestation ? », s’interroge Nouvelle Opinion sur la question qui trouve « qu’à l’opposition togolaise le ridicule ne tue pas ».

« Les deux supers blocs qui pensaient pouvoir se mettre ensemble pour remporter la victoire en 2015 ont démontré leurs limites. Jamais ils ne pourront se mettre ensemble pour du bien, et pour cause, chaque responsable de parti politique en leur sein a son programme, ses ambitions propres à lui qu’il ne saura tuer au profit de quoi que ce soit », justifie Nouvelle Opinion.

Liberté dans un dossier présentant la liste de ceux qu’il appelle « les sécurocrates » de Faure Gnassingbé qui sont « face à la problématique de l’alternance au pouvoir ».