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Journée internationale pour l’Éradication de la Pauvreté : La Banque Mondiale met en avant le développement du capital humain en lien avec les TIC

Togo - Societe
La Journée internationale pour l’Éradication de la Pauvreté (End Poverty Day) a été célébrée mercredi 17 octobre 2018 à travers le monde. Pour marquer d’un cachet spécial cet évènement, la Banque Mondiale au Togo a initié une conférence-débat autour du thème : « Jeunesse africaine, et l’avenir du travail ».
La rencontre a permis aux premiers responsables de l’institution financière ainsi qu'à des jeunes entrepreneurs et acteurs impliqués dans le développement et l’emploi des jeunes de débattre autour de cette thématique en lien avec l’évolution des nouvelles technologies.

« Cette journée du 17 octobre est une journée importante pour marquer notre engagement à éradiquer l’extrême pauvreté dans le monde. C’est une occasion pour évaluer les actions que la banque et tous les partenaires au développement et les gouvernements mettent en œuvre dans le sens d’éradiquer la pauvreté. Le dernier rapport de la Banque Mondiale révèle que les nouvelles technologies contribuent à un changement total sur le marché de travail. Pour saisir ce changement comme une opportunité, on doit tous ensemble développer le capital humain pour que les jeunes puissent profiter du changement qu’amènent les nouvelles technologies », a laissé entendre Mme Hawa Wagué CISSE, Représente-Résident de la Banque Mondiale au Togo.

Trois (3) panels de discussions ont meublé cette rencontre à savoir : « l’état des jeunes au Togo », « l’avancée technologique » et « la formation adaptée aux nouvelles réalités ».

« Il est question de voir quelles sont les mutations qui sont à la base de nos métiers. Les métiers que nous faisons aujourd’hui ne vont pas disparaître, mais ces métiers vont se transformer et exiger d’autres compétences. Pour cela, il faudra que dans les formations nous pussions intégrer ces nouvelles compétences et que les jeunes puissent recourir à des outils opérationnels pour pouvoir impacter durablement le développement dans nos pays », a expliqué le panelliste, Awokou Kokou, enseignant-chercheur à l’Université de Lomé.

Raphaël A.