Le processus d’urbanisation de l’Afrique connaît un essor saisissant eu égard au progès démographique très élevé. L’effectif de la population africaine tendra vers 2,4 milliard d’ici 2050, dont 1,3 milliard d’urbains et 455 millions à l’heure actuelle. Les derniers sondages révèlent que l’Afrique abrite environ ¼ des 100 villes, lesquelles connaissent l’explosion urbaine la plus poussée. Dans les années 2025, le continent devrait recenser environs trois mégalopôles notamment Kinshassa, Le Caire, Lagos ; En Afrique Subsaharienne, le nombre de batiment pourra être multiplié par 4 d’ici 2050.
C’est pourquoi, il devient capital d’anticiper les besoins en logements et de réduire les risques de dégradations environnementales tout en l’associant à un processus d’urbanisation rapide. La construction durable s’inscrit dans cette lancée et propose des alternatives aux multiples problèmes en rapport avec la pauvreté, la distribution d’une énergie durable, respectueuse de l’environnement et de l’écosystème.
Localisé dans plusieurs pays du monde, RS components est une marque spécialisée dans le déploiement des produits électroniques et industriels. Parce qu’elle est soucieuse du bien-être de l’environnement, elle s’investit à montrer la voie en s’engageant dans un processus de développement durable. Particuliers et entreprises sollicitent la marque pour la construction de leurs locaux, travaux de rénovation, décoration, bricolage, tout en intégrant dans leur perspective un engagement purement écologique.
La construction durable : une valeur sûre pour le développement durable en Afrique
L’Afrique regorge un panel d’opportunités en matière d’infrastructures. Toutefois, opter pour une construction écologique regorge de nombreux avantages, puisque la démarche se veut salutaire, notamment en ce qui concerne le développement durable. L’un des objectifs majeurs de la construction durable réside dans la mise en place des mesures stratégiques qui visent à amoindrir l’impact sur l’environnement du bâtiment (neuf ou ancien).
Pour que cet objectif soit atteint, il faut un approvisionnement énergétique tempérant en CO2 et une mise en route de la bonne gestion des ressources qui optimise en même temps le confort des occupants. Pour ce faire, l’on peut opter pour des habitats bioclimatiques, l’intégration des énergies renouvelables, l’utilisation des matériaux performants et l’intégration des énergies renouvelables. Dans cette optique, s’inscrit également l’usage des matériaux locaux, la meilleure gestion des ressources, qui se veut plus avantageux en matière d’économie.
Parce que l’Afrique fait face à une pauvreté énergétique accrue et l’usage des produits polluants, il devient vital d’introduire les énergies renouvelables au sein de la conception des bâtiments, que ce soit dans le cadre de l’installation des panneaux photovoltaïques, climatisation solaire, éolienne de toit ou les panneaux solaires.
Promouvoir l’usage des matériaux locaux et des méthodes de construction traditionnelles, comme c’est le cas de la voûte nubienne, permet notamment de donner de la valeur au savoir-faire précisément dans le secteur informel. Cela permet aussi de soutenir les économies locales. Au Sénégal, le projet qui s’inscrit vivement de cette démarche est celui de ville à énergie positive (Assie Gaye).
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