+Assabah+ évoque la situation du secteur de la santé. La publication se réfère à un rapport sur le service public, élaboré par le groupe de travail thématique chargé de la préparation de la séance annuelle réservée à l’évaluation des politiques publiques, et qui précise que les secteurs de la santé et de l’enseignement ont été vivement critiqués.
Pour étayer ce diagnostic, le journal puise dans les données et chiffres contenus dans ce rapport. On apprend ainsi que les Marocains souffrent d’un manque d’accès aux services de santé, avec le chiffre dérisoire de 0,6 consultation médicale annuelle par habitant.
Autre donnée révélatrice de la réalité du secteur de la santé: le manque des ressources humaines, avec un chiffre parlant de 3 médecins pour 2.000 habitants. Un déficit qui devrait s’accentuer dans les années à venir à cause du manque de postes budgétaires alloués au secteur.
A cela s’ajoute la faiblesse de la capacité d’accueil dans les établissements hospitaliers, avec un lit pour 1.000 habitants, qui se conjugue à celle des infrastructures et des ressources, notamment aux services des urgences de plusieurs hôpitaux. Selon le rapport, l’offre médicale actuelle est en-deçà des besoins pour certaines maladies comme le diabète, le cancer, l’insuffisance rénale, les affections psychiatriques et cardiologiques
+L’Opinion+ revient sur la coopération des Marocains du monde. Aujourd’hui la diaspora marocaine offre de nouvelles perspectives de coopération et de partenariat avec le Maroc, notamment à travers le transfert des compétences acquises par les diasporas à travers l’éducation, la formation et l’expérience professionnelle, constate le quotidien.
La diaspora marocaine peut donc contribuer au développement des capacités dans les pays d’origine, que ce soit par le biais des migrations de retour ou par celui des retours virtuels utilisant les techniques de communication, relève-t-il.
Les immigrés marocains se posent en investisseurs dans différents secteurs productifs particulièrement les petites et moyennes entreprises, ils participent ainsi à la création d’entreprises et à la croissance de l’activité économique, précise l'auteur de l'article.
Au voler du sport, +Al Massae+rapporte que l’entraineur du Wydad de Casablanca, Faouzi Benzarti compte bien opérer un turn-over dans son effectif lors du match, samedi prochain à Casablanca, contre les Guinéens du Horoya Conakry pour le compte de la quatrième journée de la première phase de poule de la Ligue des champions de la CAF.
Parmi les principaux changements attendus: le retour de Salaheddine Saïdi. Le milieu de terrain défensif, un des piliers du onze de Faouzi Benzarti, n’avait pas joué le match à Conakry à cause d’une suspension, rappelle la publication.
Outre Saïdi, les observateurs s’attendent à un très probable retour de Amine Tighazoui, indisponible pour blessure et qui devrait vraisemblablement faire partie du onze de départ, samedi prochain au complexe sportif Mohammed V. Mais si Benzarti peut se réjouir du retour de certains joueurs, il devra en revanche composer avec de nouvelles absences.
Des absences qui concernent deux piliers de la défense du Wydad. Il s’agit de Naim Aarab et Abdelhamid El Kaoutari. La tâche s’annonce délicate pour le technicien tunisien qui devra, selon le quotidien, réaliser une «révolution» dans sa charnière défensive pour faire oublier la mauvaise prestation de sa défense lors du précédent match à Conakry, lors duquel le Wydad a encaissé un but évitable.
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