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Les quotidiens marocains parus ce mercredi

Maroc - Societe
Les quotidiens marocains parus ce mercredi se focalisent sur nombre de sujets notamment le 31ème Sommet de l’UA à Nouakchott, la croissance économique et le Programme de réduction des disparités sociales et territoriales en milieu rural.
+L’Opinion+ souligne que le 31eme sommet de l’Union africaine, qui a clos ses travaux lundi soir à Nouakchott, a adopté la mise en place de l’Observatoire Africain des Migrations au Maroc, suite à la proposition du Roi Mohammed VI en sa qualité de Leader de l’UA sur la question de la migration.

Cet observatoire, dont le travail sera basé sur le triptyque « comprendre, anticiper et agir », aura pour mission de collecter les informations et de développer l’échange d’informations ainsi que la coordination entre les pays africains, fait savoir le journal.

+Al Ittihad Al Ichtiraki+ écrit que la « décision importante » prise dimanche par les Chefs d’Etats et de gouvernements de l’Union africaine (UA) au sujet de la question du Sahara marocain consacre la primauté du processus onusien dans la gestion de la question du Sahara marocain et rappelle qu’il n’y a pas de processus parallèle.

Selon le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita, le dossier du Sahara marocain « est exposé exclusivement aux Nations Unies » et « uniquement à l’ONU ».

+Le Matin+ relève que pas moins de 6.85 milliards de DH ont été mobilisés dans le cadre du plan d’action 2018 du Programme de réduction des disparités sociales et territoriales en milieu rural. *

Selon le Chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, cinq secteurs vitaux sont concernés prioritairement par cette manne, à savoir la santé, l’éducation, les routes, l’eau potable et l’électrification rurale.

+Akhir Saa+ indique que la croissance économique nationale s’est située à 3,2% au 1er trimestre 2018 contre 3,5% durant la même période un an plus tôt.

D’après le Haut-commissariat au plan (HCP), cité par la publication, cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages et l’investissement dans le contexte d’une inflation maitrisée et du besoin de financement de l’économie nationale en augmentation.

Le secteur primaire a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance passant de 13% au 1er trimestre 2017 à 2,7% durant la même période de 2018, fait savoir le HCP, qui explique ce résultat par une hausse, au 1er trimestre 2018, de 2,5% de la valeur ajoutée de l’activité agricole et de celle de la pêche de 5%.

+L’Economiste+ souligne que le nouveau président de la Confédération générale des entreprises du Maroc, Salaheddine Mezouar, révèle ses priorités. Dans une interview accordée au quotidien, le nouveau patron des patrons se confie et livre les premiers chantiers sur lesquels il entend déployer toute son énergie.

Ainsi, concernant le nouveau dispositif sur la création d’entreprise en ligne, il souligne que cette réforme est attendue depuis plusieurs années. «L’enregistrement électronique des entreprises est une réelle avancée et doit servir d’exemple pour pouvoir véritablement attaquer les vrais sujets qui bloquent», déclare-t-il. «L’efficacité dont nous avons besoin vient de notre capacité collective à être volontaristes, à mettre en place les choses dans la simplicité pour libérer les initiatives et à donner la force nécessaire aux acteurs. Nous ne pouvons accepter qu’une procédure de création d’entreprise mette plusieurs mois alors qu’elle ne devrait exiger que quelques jours seulement», ajoute-t-il.

Sur le nouveau modèle de développement du Maroc, le chef du patronat fait remarquer qu’il n’a pas constaté l’émergence d’une véritable réflexion sur le sujet depuis le discours du Roi Mohammed VI. Il révèle ainsi que la CGEM prépare sa vision sur le sujet, afin d’y contribuer de manière franche et courageuse.

Concernant l’impact de la campagne de boycott sur le capital privé marocain, Salaheddine Mezouar estime que ce n’est cela qui va le secouer. «Les entreprises travaillent, continuent d’investir, ont des clients…. Maintenant, est-ce que l’impact est si fort au point de reporter des décisions d’investissement? C’est difficile à dire. Cela peut avoir cet effet mais il faut savoir raison garder. Le monde des affaires a connu des conjonctures plus compliquées», soutient-il.