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Revue de presse du 7 mai 2018

Togo -
Droits humains, la Coalition des 14, affaire Bolloré… sont les sujets qui ont intéressé les journaux de ce matin.
« Droits de l’Homme : Le Togo encore épinglé par le Département d’Etat américain », titre Liberté.

Le quotidien privé rapporte : « Privation arbitraire de la vie, recours excessif à la force par les forces de sécurité, absence de procédure régulière, conditions dures et potentiellement mortelles dans les prisons et les centres de détention, arrestations arbitraires, influence de l’Exécutif sur le pouvoir judiciaire, restriction de la liberté de réunion, corruption institutionnalisée, criminalisation des comportements sexuels entre personnes de même sexe et traite des personnes. Le Togo est encore épinglé pour le non-respect des droits de l’Homme par le Département d’Etat américain » dans le rapport 2017 sur la situation des droits humains dans le monde.

Nouvelle Opinion se demande : « Le G14 a-t-il peur des urnes ? »

Dans ce papier, son auteur tente de montrer que les membres de la Coalition des 14 ne sont pas prêts pour les prochains rendez-vous électoraux. Et d’en conclure : « Au demeurant, les critiques de la C14 qui fusent de partout prouvent à suffisance qu’elle prend en aversion les élections qui pourtant sont une expression de la démocratie ».

Sur le même sujet, dans un article intitulé « Le pouvoir et la Coalition s’observent en chiens de faïence » Combat du peuple précise : « Dans ce jeu de dupes, une chose a retenu notre attention : aucune partie entre le pouvoir et la Coalition n’a pris l’initiative de la rupture du dialogue. Il reste donc que les recommandations des facilitateurs s’imposent en dernier ressort ».

Le Correcteur, lui, consacre sa Une à une « Enquête exclusive : Bolloré, Faure, Gafan Bolouvi, l’axe de la grande corruption et du pillage du Port de Lomé ».

En effet, souligne le bihebdomadaire, dans ce long article, « Bolloré étant en chute libre, il faudra lui donner l’estocade. En Italie, malgré une position de premier actionnaire, Bolloré vient de perdre le contrôle de l’opérateur Télécom Italia, une semaine après sa mise en examen. Une déconvenue qui s’ajoute à d’autres puisque l’industriel français a dû jeter l’éponge, après avoir tenté de grignoter Ubisoft, l’éditeur de jeux vidéos ».

Liberté ajoute que le milliardaire breton « traverse une très mauvaise passe depuis sa mise en examen le mercredi 25 avril 2018 ». Comme ligne de défense, Vincent Bolloré, poursuit le journal, « joue la carte de victimisation… comme c’est le cas dans une lettre adressée au personnel du Groupe dans laquelle il s’est permis de présenter Faure Gnassingbé comme « démocratiquement élu ». Une insulte à l’intelligence du peuple togolais en lutte pour l’alternance à la tête de l’Etat ».

A.H.