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L’intégrité territoriale du Royaume et l’enseignement supérieur au menu des quotidiens marocains

Maroc - Societe
La question de l'intégrité territoriale du Royaume et l’enseignement supérieur sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mardi.
Revenant sur la question de l’intégrité territoriale du Royaume, +Al Massae+ indique que le front polisario, aiguillonné par des parties plus soucieuses de leurs intérêts que de la stabilité de la région, tente de « jouer un rôle plus grand que lui », ce qui a poussé le Maroc a « tenir l’option diplomatique dans une main et la carte de la guerre dans l’autre ».

L’intégrité du territoire national ne sera pas exposée aux manœuvres qui se trament dans le noir, relève le quotidien.

+Al Alam+ indique que l’escalade choisie par le front polisario dans une tentative de créer des crises pour faire diversion sur ses nombreux fiascos dans plusieurs domaines ne doit pas devenir un fait accompli.

Le plan d’autonomie proposé par le Maroc vise à contribuer effectivement à l’aboutissement des efforts de l’ONU visant à trouver une solution politique au conflit, constate la publication.

Dans le même sillage, +Libération+ cite l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc aux Nations Unies, Omar Hilale qui, dans une lettre transmise au Président du Conseil de Sécurité a mis en garde contre « le déplacement de toute structure civile, militaire, administrative ou de quelque nature que ce soit, du polisario, des camps de Tindouf en Algérie, vers l'Est du dispositif de sécurité au Sahara marocain. Ceci « constitue un casus belli », a-t-il dit.

« Les récentes provocations du polisario et son occupation de quelques parties de la zone tampon sont en effet tellement grave que notre pays ne peut que réagir avec la force et la détermination requise afin qu’il y soit mis un terme avant que la situation ne dégénère en des actions dont il sera difficile de maitriser les conséquences tant régionales qu’internationales », a ajouté le diplomate marocain, cité toujours par le journal.

+L’Economiste+ revient sur l’enseignement supérieur. La reconnaissance par l’Etat de plusieurs établissements d’enseignement supérieur « va sans doute dans le bon sens : celui de libérer de leurs carcans les acteurs privés qui réunissent les conditions d’excellence ».

Au-delà le sujet central de la formation mérite une mobilisation totale, et pour y arriver « il faut aller vite, beaucoup plus vite sur la simplification de l’environnement juridique pour se recentrer sur l’essentiel : négocier un big bang des compétences peu importe le statut de la formation initiale, continue, professionnel », relève la publication.