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Journée de la femme et inhumation de soldats au menu des quotidiens burkinabè

Burkina-Faso - Societe
Les quotidiens burkinabè parvenus à APA, ce vendredi matin, sont revenus sur l’inhumation, il y a deux jours, des huit militaires morts lors du double attentat terroriste du 2 mars dernier, sans oublier la célébration, hier jeudi, de la journée internationale de la femme.
Aujourd’ hui au Faso, quotidien privé, arbore en manchette: «Journée du 8 mars au Burkina: Roch en tango verbal avec l’autre moitié du ciel».

Selon ce journal, à la faveur de la célébration de la Journée internationale de la femme, hier jeudi 8 mars, le chef de l’Etat burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré, a eu un échange direct avec les femmes du Burkina Faso.

Et de souligner que c’était une occasion pour ces dernières (femmes) d’exposer leurs doléances au président du Faso.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya affiche à sa Une: «Promesse présidentielle: Au moins 30% de femmes dans le prochain gouvernement», rapportant que les femmes ont obtenu du chef de l’Etat, la prise d’engagements fermes pour satisfaire leurs préoccupations.

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, met exergue une autre promesse du président Kaboré qui annonce «une ambulance pour chaque commune».

Le même journal évoque l’inhumation des soldats tués lors des attaques terroristes du 2 mars dernier, en titrant : «Le dernier voyage de 8 valeureux combattants».

L’Observateur Paalga rappelle que les huit militaires qui ont perdu la vie lors des attaques de l’état-major des armées et l’ambassade de France ont été conduits à leur dernière demeure, le mercredi 7 mars dernier, au cimetière de Gounghin, à Ouagadougou.

Le sujet fait la manchette du journal Le Quotidien qui titre: «Attaques terroristes du 2 mars 2018: Les victimes désormais au cimetière de Gounghin».

De son côté, Aujourd’hui au Faso fait remarquer qu’à l’enterrement des 8 militaires tués, «colère, ferveur et résilience (étaient) au cimetière».