Panafricanisme, quelle méthode de lutte pour aboutir ?
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Togo
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Afrique
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La théorie de l'esclave de la maison contre celui du champ:
L'histoire nous rappelle de récit sur nos grands-parents emportés de forces sur une nouvelle terre. Bien à l'idée qu'ils étaient perdus, ils rêvaient de revenir sur la terre de leurs aïeux, là où leurs placentas furent enterrés sous un arbre qui déterminait l’âge, la génération et le mystère. Au fur les années passent, à mesure les idées se diversifiaient. De même que les traitements réservés à chacun d’eux. Mais ils n'ont jamais oublié le retour à la terre mère.
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Ainsi, deux catégories d'esclaves se dégageaient: ceux que l'oppresseur gardait pour les travaux ménagers et ceux qui étaient condamnés aux travaux champêtres. C'est ainsi que les discours, les conditions de vies et de travail se diversifiaient. Le Noir de la maison comprenait mieux le maître que celui qui croupit dans les champs de canne à sucre. Ça parlait mieux du maître. Le discours avec les propriétés du maître tournait à "notre". Quand l'esclave au champ pense à la révolution, celui de la maison, de peur (peut-être) de perdre ses prérogatives, est prêt à tout pour le décourager ! Il sort le discours du genre "patientons, négocions, observons encore, réfléchissons bien etc.". L'esclave qui jouit (dans tous les sens du mot) plus du maître, qui fait le petit chien au maître et vit un peu mieux quotidiennement grâce à ce dernier, ne pourra non seulement plus avoir une réelle idée de changement mais sera plutôt une bonne taupe. C'est ainsi que toute idée de révolte dès l'étape fœtale meurt sans voir vécue ! Ceci est donc l'image qui finit par se dessiner dans les pensées de l'esclave qui subit une double vente.
Coopérer, rester dans les pas du maître et un jour, lui annoncer qu'on est plus sous sa coupole. Est-ce vraiment une stratégie à cette étape du combat ? Comme si ce dernier serait aussi naïf aux plans concoctés. C'est d’ailleurs la souris qui vend toujours le plan de la maison aux rats nous enseigne un dicton populaire en Afrique.
Thomas Sankara avec sa célèbre phrase disait : "L'esclave qui n'assume pas sa propre révolte n'est pas digne que l'on s'apitoie sur son sort" se situait dans quelle idéologie ? « Aucun peuple ne s’est affranchi en faisant appel au bon sens de l’oppresseur » nous rappelle Assata Shakur.
Sur quelle Afrique grefferons-nous tous ces efforts?
Quel jour nos héros, Béhanzin, Soundjata Kéita, Samory Touré, Okonfo Anotsé, Prempeh etc. seront-ils fiers de nous?
À quand réaliser le rêve de Dr. Kwame N'krumah de voir l’Afrique comme une seule nation?
L'esprit Naa Asantewaa, des Amazones etc. reviendront nous habiter ?
À quand la monnaie unique pour notre continent?
À quand scolariser nos enfants dans une langue commune à nous?
Chers Panafricanistes, chers idéologues, chers illuminés, Vous détenez les commandes d'un avion à bord duquel il réside un remède salvateur pour une Afrique tétanisée. Même s'il fait mauvais temps en pleine nuit, les beaux jours s'annoncent de par les actes que vous posez. Retournons à la source pour continuer ce combat dans le bon sens!
Ne trahissons pas cette lutte car un africain décidé à se libérer a toujours eu l'approbation des ancêtres !
D'où nous venons, les armes ne nous effrayent pas, l’argent ne nous corrompt point ! Nos anciens savent parler au ciel quand la saison sèche dure !
NE TRAHISSONS PAS CE COMBAT!!!
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Togo - Feu vert pour le démarrage des championnats
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Togo
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Dimanche, 17 Janvier 2021
Après une saison tronquée par la crise sanitaire, la Fédération Togolaise de Football (FTF), dans une note circulaire datée du 15 janvier 2021, annonce le démarrage dans les procha
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