Dans une exclusivité de L’ALTERNATIVE, Bi-Hebdo, le journal affiche à sa Une/ Exclusif: Equipements douteux, acquis au marché noir... la nouvelle aérogare pas à l’abri de risques et menaces
« Lorsque le 13 septembre 2016 dans notre parution N° 554 du 13 septembre, nous écrivions : «Nouvelle aérogare de Lomé ; la chinoiserie de Faure et copains déjà inondée par une petite pluie », le sieur Dokisime Gnama Latta, président du comité de pilotage du réaménagement et de l’extension de l’aéroport international Gnassingbé Eyadema de Lomé s’est mis en transe, tel un diable tombé dans l’eau bénite », rapporte le journal dans ses colonnes. (…).
L’Alternative, pour prouver par cet article qu’il n’est pas question pour le journal de vilipender, a tenu à rebondir sur ce dossier pour mettre en exergue le grand scandale qu’est la nouvelle aérogare de Lomé.
« Dans la série de dossiers que nous consacrerons à la construction scandaleuse de la nouvelle aérogare, les Togolais, y compris Faure Gnassingbé, se feront une idée du patriotisme dont s’affuble le sieur Gnama Latta. Dans cette première phase, nous publions une série de trois documents assez révélateurs des magouilles organisées dans l’achat du matériel d’équipement de la nouvelle aérogare », explique le journal.
Politique/Un motocycliste à la tête du CAR : Awokou Nador, l’Apôtre Jean qui annonce le retour de «Jésus» Yawovi Agboyibo, titre également L’ALTERNATIVE.
Exit Me Paul Dodji Apévon à la tête du CAR (Comite d’Action pour le renouveau). Ainsi en a décidé le gourou «Président fondateur» Yawovi Madji Agboyibo, écrit le journal.
L’Alternative révèle que « le coup préparé de main de maître par le Bélier noir a connu une phase décisive et folklorique ce samedi 22 octobre 2016 avec ses partisans qui se sont réunis à l’hôtel MUGET à Lomé ».
«Les 36 prétendues fédérations ont parachevé le putsch préparé de longue date par le gourou jusque dans les détails près. En quelques minutes, ces fameux présidents fédéraux se sont arrogé le droit, au mépris des statuts du parti de liquider le bureau de Me Dodji Apévon qui serait devenu illégal depuis le 17 octobre», lit-on dans le journal.
Autre parution, LIBERTE, quotidien privé écrit/Investissement dans la construction de Lomé Container Terminal : La Société financière internationale et LCT épinglés dans un rapport d’enquête ;-« La SFI n’a pas pris en compte les « impacts historiques, sociaux ou environnementaux importants » associés au projet.
Liberté révèle que c’est suite à une plainte déposée en mars 2015 auprès du Bureau du Conseiller-médiateur pour l’application des directives « Compliance Advisor Ombudsman CAO », par le collectif des personnes victimes d’érosion côtière, un groupe d’habitants vivant à l’est du port de Lomé et déclarant subir des répercussions négatives du projet. Les plaignants, écrit le journal, affirment que le projet est un facteur d’accélération de l’érosion côtière qui touche leurs communautés.
Dans ce rapport, le CAO a relevé un certain nombre de non-conformités dans le processus d’instruction et de supervision du projet LCT par la SFI, particulièrement en ce qui concerne : a) l’identification et la gestion des risques et impacts potentiels du projet sur l’érosion côtière, et b) l’implication des parties prenantes autour de ces problématiques.
Liberté consacre un autre titre sur la crise au Car et affiche/Apocalypse du CAR/En attendant le retour du grand gourou: Yawovi Agboyibo et ses missi dominici portent l’estocade finale ; -Vers une « UfCéisation» certaine du parti.
A en croire Liberté, «Le feuilleton au comité d’action pour le renouveau (CAR), continue son bonhomme de chemin, ou plutôt a livré son tout dernier épisode, si l’on en croit ce qu’il convient d’appeler les missi dominici de Yawovi Agboyibo»
«Comme pressenti, ils ont porté l’estocade finale à la désintégration du parti ce samedi 22 octobre, avec la nième réunion à l’hôtel MUGET à Lomé, déblayant ainsi le terrain au retour du grand gourou. Mais quel renouveau du CAR avec le «vieux» Bélier noir ? Il est évident que l’on tend vers une «UfCéisation» du parti.
Autre journal, L’INDEPENDANT EXPRESS, Hebdo écrit/Pour échapper au redressement fiscal : Un Chef d’entreprise corrompt 4 agents de l’Otr avec 35 millions de Fcfa.
L’opulence constatée chez des agents de l’Otr trouve désormais sa raison dans les méthodes et pratiques peu orthodoxes auxquelles se livrent les jeunes cadres, indique le journal.
Selon l’auteur de l’article, des pratiques qui sont loin de répondre véritablement aux objectifs et au cahier de charge de l’office présenté comme un instrument de réduction de la corruption de la douane et des impôts.
« Les informations qui nous parviennent tous les jours sont effarantes et révoltantes. La dernière, un chef d’entreprise a cédé au chantage des agents de l’Otr en versant 35 millions de Fcfa pour échapper au versement de 160 millions de Fcfa. Une pratique qui est devenue une méthode légale à l’Otr, au nez et à la barbe des commissaires», dit le journal.
Nouvelle mise en cause de la justice togolaise : «Georges Gnassingbé», un pseudo fils d’Eyadema en prison pour escroquerie.
Dans cet article, l’Indépendant Express fait savoir qu’un homme se présentant comme l’un des fils du général Eyadema est arrêté et jeté à la prison civile de Lomé depuis plusieurs semaines déjà.
L’homme, écrit le journal, a escroqué sous ce nom de la famille Gnassingbé plusieurs personnes et de nombreuses plaintes pour le même motif sont déposées dans les commissariats.
LE MEDIUM, Hebdo dans les kiosques écrit/ Corruption et lourdeur administrative à dessein : Des citoyens abusés par certains agents de la Direction de la Nationalité.
« S'il est à encourager les efforts et surtout la bonne volonté des autorités afin d'alléger le processus de délivrance des actes administratifs et dans le cas d'espèce du Certificat de Nationalité Togolaise, c'est sans compter avec les vieilles habitudes de certains agents de la direction de la Nationalité qui au lieu de faire convenablement leur boulot, à l'abri de la corruption, se posent sans sourciller en agents corrupteurs " diplômés et certifiés "».
DOSSIER: Quelles retombées pour le Togo après le Sommet Extraordinaire de l'UA sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique ?, s’interroge demande le Médium
Du 10 au 15 octobre 2016, s'est tenu à Lomé le Sommet Extraordinaire de l'Union africaine (UA) sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique. Cet évènement a fait pendant cette période de la capitale togolaise, l'épicentre des cadres de discussions liées à la protection des mers et des océans.
« Qualifiée par le Président en exercice de l'UA, le Président tchadien son Excellence Idriss Déby ITNO d'un des " sommets les plus réussis ", cette grande rencontre a accouché après plusieurs jours d'enrichissants échanges et d'évènements parallèles, d'une charte dénommée " Charte de Lomé ". Ce résultat a été salué par tous les acteurs, qu'ils soient issus du monde politique économique ou encore de la société civile », souligne le journal.
L AT
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