Rebondissement dans l’affaire des incendies des marchés de Lomé et de Kara : Annulation des inculpations de Me Ajavon Zeus et de certains leaders du défunt CST, annonce FORUM DE LA SEMAINE, Quotidien privé.
Selon le journal, « quelques mois après le 3e anniversaire des incendies des marchés de Lomé et de Kara, le dossier semble connaître une évolution. Depuis hier mardi 10 mai, certaines personnes inculpées dans le cadre de cette affaire et même un autre détenu à Kara ont vu leur situation connaître un changement ».
« Ainsi, les premières au rang desquelles se trouvaient Me Zeus Ajavon et certains leaders du défunt CST (Collectif Sauvons le Togo), Me Isabelle Améganvi, Eric Dupuy, Me Jil-Benoit Afnagbédji, Me Raphael-Adzaré. Aussi, le confrère Zeus Aziadouvo, inculpé dans le cadre de cette affaire, voit également son inculpation être annulée », rapporte Forum de la Semaine.
A en croire le journal qui cite certaines sources, « ce rebondissement intervient au moment où le juge d’instruction a clôturé sa part de travail. Quel sera dès lors le sort des autres personnes qui ne seront pas concernées par ces annulations d’inculpation ? Tout porte à croire que pour avoir reconnu leur forfait, ces dernières risquent d’aller aux assises pour répondre de leurs actes ».
Diplomatie : Marcel De Souza plaide pour la construction d’une 16e économie pour les 15 Etats membres de la CEDEAO.
Le président de la commission de la CEDEAO, Marcel de Souza, a invité les participants à la 19e réunion de l’administration et des finances (CAF) ouverte le lundi 9 mai 2016 à Dakar, au Sénégal, à redoubler d’efforts pour contribuer à l’amélioration du bien-être des citoyens ouest-africains et à l’édification de la CEDEAO des peuples, lit-on dans les colonnes de Forum.
TINGO TINOGO, Hebdo affiche à sa Une/Drame dans le village de Nimanya dans les Lacs : Une exploitation illicite de sable marin en toute quiétude.
Tingo Tingo estime que le laisser-aller fait que la minorité pilleuse des biens de la Terre de nos Aïeux prend une proportion inquiétante. Car, le journal fait savoir qu’actuellement à Nimanya, village situé dans la préfecture des Lacs sur la nationale n°2 (Lomé –Aného) se déroule ce qui peut s’appeler un drame pour les populations.
« Il s’agit d’une exploitation et vente de sable de mer par camion, en violation totale des dispositions qui sont en vigueur dans le pays. (…). Tout ce drame se passe alors que personne n’est en mesure de le dire dans le village », révèle dans ses colonnes Tingo Tingo.
Le journal pointe un doigt accusateur le chef du village, puisque, écrit Tingo Tingo, le chef qui est absent est bel et bien au courant de la situation. Mais il garde le silence en faisant semblant de ne pas voir et prendre conscience du drame qui se joue à longueur de journées dans son village ».
Le grand écart entre les promesses des autorités et les réalités à l’Otr : Le volte-face de la machine à broyer du tout-puissant Henry Gaperi qui cache mal la supposée performance, écrit le journal.
Ici, il est question pour le journal, de dénoncer la manière avec laquelle, l’Otr est conduite. C’est pourquoi le journal se demande si la législation de l’Otr est différente de celle du Togo.
LIBERTE, Quotidien privé revient sur la marche du CAP 2015 à venir et écrit/Marche du CAP 2015 pour les réformes : Enjeu, contexte, portée…test grandeur nature pour l’opposition et le peuple togolais.
Samedi 21 mai 2016. C’est sur cette date que le Combat pour l’alternance politique 2015 (CAP 2015) convie ses militants et les populations togolaises à une marche dans les rues de Lomé.
Motivation, exiger la mise en œuvre des sempiternelles réformes constitutionnelles et institutionnelles que refusent de matérialiser Faure Gnassingbé et le pouvoir Rpt/Unir depuis dix ans. La mayonnaise va-t-elle prendre ? L’opposition dans son ensemble et les Togolais vont-ils se sentir concernés ? Est-ce le début du réchauffement de la scène politique ? Enjeu, portée de cette manifestation, à l’aune de la sortie courageuse des évêques du Togo, commente Liberté.
Sans détour : La pression s’accentue sur le pouvoir de Faure Gnassingbé, écrit le journal.
Pour Liberté, Faure Gnassingbé a chaud devant et…derrière.
« La pression est de pus en plus forte sur son régime. Comme l’a si bien rappelé l’épiscopat togolais, le pays est retombé dans une léthargie inexplicable à la suite du braquage électoral du 25 avril 2015 qui consacrait le 3e mandat de Faure Gnassingbé », indique le journal.
Selon Liberté, la sortie des Evêques n’a pas non plus laissé indifférents les ambassadeurs occidentaux. Lundi, l’Ambassadeur de l’Ue au Togo, Nicolas Berlanga-Martinez a salué cette lettre qui, d’après lui, « montre le chemin pour atteindre des réponses à la série de questions raisonnables et cruciales qui se connectent avec la majorité sociale du Togo ».
Pour le journal, « il revient à l’opposition et au peuple de capitaliser tout cela pour obtenir enfin les réformes politiques ».
Santé : Rupture de l’antigène BCG au Togo, des nouveau-nés en danger, annonce Liberté.
L’information est relayée par le journal qui, après avoir eu l’écho, dit avoir joint une infirmière qui a confirmé.
« L’antigène BCG est le vaccin qui protège les nouveaux-nés de cette maladie dangereuse qu’est la tuberculose et si l’administration en est arrivée à ne pas pourvoir les centres hospitaliers en ces produits, c’est dire le danger que courent ces êtres qui n’ont pas demandé à venir au monde, mais qui risquent de décéder avant l’heure », explique le journal.
Liberté interpelle les premiers responsables de la santé au Togo afin d’y remédier le plus rapidement possible.
Perdu dans les méandres de ses deals : Fabre expose sa mauvaise foi, lit-on dans les colonnes del’Hebdo LE DIALOGUE.
Depuis le 3 mai dernier, on connaît déjà les 05 membres élus par les députés et qui devraient siéger à la HAAC. En marge de cette élection, la polémique est toujours entretenue autour d’un certain deal entre Unir et l’Anc. Ce qui amène les esprits avertis à se demander si Fabre, président de l’Anc et chef de file de l’opposition n’est pas en passe de tourner en bourrique ses militants qui ne comprennent rien de ses manèges politiques ?, développe le Dialogue.
LE MESSAGER, Hebdo écrit à sa Une/ Rapport tendancieux d’Amnesty International sur le Togo : Pour qui roule l’Ong de défense des droits de l’Homme ?, s’interroge le journal.
Selon le Messager, Amnesty International se ridiculise et se discrédite davantage en affirmant que les autorités du Togo n’ont pas respecté les engagements pris devant la communauté internationale depuis 5 ans, en écrivant dans son rapport que les réunions pacifiques organisées par des partis politiques ou des défenseurs des droits humains sont souvent arbitrairement interdites et dispersées par la police, la gendarmerie ou les forces armées, en parlant d’arrestations arbitraires des organisateurs des manifestations, en disant que les autorités restreignent la liberté d’expression et ciblent les journalistes.
L A Y
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