Confidentiel/Gaspillage sans limites des ressources du Togo : 32 milliards pour la rénovation de l’aéroport de Niamtougou dont Faure est le seul usager, titre à sa Une, LE CORRECTEUR, Bi-Hebdo
Selon le journal, le coût de réfection de l’aéroport de Niamtougou dans le septentrion dont les travaux ont été lancés le 23 avril dernier par Faure Gnassingbé tournent autour de 32 milliards fcfa, citant des sources confidentielles.
"Au temps de Eyadema, cet aéroport servait aux trafics de tout genre. A son accession sanglante au pouvoir en 2005, Faure Gnassingbé qui avait décidé de polir un tout petit l’image de son nouveau régime, a mis fin aux trafics. C’est ainsi que cet aéroport était presque à l’abandon...Lorsque la réfection de cet aéroport coûte cette fortune pour le contribuable togolais, il y a bien péril en la demeure", fait savoir le journal.
Le monde du show biz en deuil : Papa Wemba est mort, annonce le journal qui publie l’image montrant le corps sans vie l’artiste.
Connu sous le nom de Papa Wemba, l’homme a rendu l’âme sur scène à Abidjan lors d’un concert en Côte d’ivoire samedi dernier.
Provocation ou tentative de réconciliation à l’Eglise?: Faure à la paroisse catholique Notre Dame de la Rédemption de Klikamé de Pascal Bodjona.
Les manifestations du 56e anniversaire de l’indépendance du Togo ont déjà commencé dans l’agenda présidentiel. Hier matin, écrit le Correcteur, Faure Gnassingbé était au culte catholique à l’Eglise Notre Dame de la Rédemption de bè-Klikamé. Il était pour rendre grâce à Dieu avant tout et pour implorer sa bénédiction sur son peuple.
Mais, selon le journal, "Faure Gnassingbé avait un dessein inavoué en se rendant à la paroisse où l’homme qu’il a fait emprisonner pendant plusieurs mois, à l’habitude de se recueillir. Faure espérait-il rencontrer Pascal Bodjona à l’église hier afin de lui serrer la main au moment du « donnez la paix à vos frères"? s’interroge le journal.
Célébration du 27 avril/Le président de l’Anc est un naufragé qui s’accroche à tout, écrit à sa Une de son côté, LE COMBAT DU PEUPLE, Hebdo.
Selon le journal dans son analyse, parmi toutes les revendications posées par Fabre, il y en a qui sont légitimes et d’autres absolument farfelues et doivent être renvoyées au rancart.
"Fabre doit cesser de faire injure à l’intelligence des Togolais. Nous savons tous qu’il n’a aucune fibre patriotique pour le Togo. (…). Faute de le comprendre, écrit le journal, il se disqualifie. Sa qualité de chef file de ‘l’opposition n’autorise pas du tout. En décidant de célébrer séparément cette fête avec ses militants, il pose un acte dichotomique qui porte un grave préjudice à la cohésion sociale et à la solidarité nationale. Les hommes politiques qui refusent de respecter les lois de la République doivent être combattus parce que leurs comportements sèment la confusion dans l’opinion africaine et constituent un objet d’égarement », lit-on dans les colonnes du journal.
LIBERTE, Quotidien privé écrit/ Quand la HAAC outrepasse ses prérogatives : Des appels d’offres lancés par l’équipe sortante à quelques semaines de son départ, fait savoir le journal.
La HAAC est en passe de disposer d’un nouvel effectif pour les cinq années à venir. Mais s’il est vrai que la HAAC est une institution constitutionnelle, faisant d’elle une institution régalienne dont la légalité et les pouvoirs restent incontestables, il n’en demeure pas moins vrai qu’elle doit aussi se plier au respect des textes sur la base desquels elle fonctionne. Or, au vu des récentes prises de décisions du reste des membres en pleine période transitoire, il apparait que certains, non assurés de demeurer dans la prochaine équipe, tentent de tirer leur épingle du jeu. L’âme de son défunt président doit se retourner là où elle se trouve en ce moment, lit¬-on dans le journal Liberté.
Dossier/Le Togo et ses multiples scandales financiers : Pillages, détournements de deniers publics, corruption, retro-commissions… ; -pourquoi Faure Gnassingbé ne peut jamais sanctionner les prévaricateurs….
Selon Liberté, « les crimes politiques sont sans doute les premières plaies caractéristiques du règne de Faure Gnassingbé ».
Mais, poursuit le journal, à côté, les crimes économiques lui disputent cette place d’honneur (sic). Pillages, détournements de deniers publics et autres ressources nationales, corruption, pots de vin, retro commissions sur les marchés, prévarications de toutes sortes, flux illicites de capitaux sont des sports quotidiens. Les scandales financiers s’enchainent sous Faure Gnassingbé. Mais aussi curieux que cela puisse paraître, « le maitre » reste impuissant malgré les discours et les professions de foi en faveur de la bonne gouvernance ».
COURRIER DE LA REPUBLIQUE Hebdo titre/Fabre absent au défilé du 27 avril : Et après ?; comprendre l’homme pour lui donner raison.
Courrier de la République demande à savoir ce qui justifie l’attitude de Jean Pierre Fabre et comparses à l'endroit de cette importante date de notre histoire commune.
"Ce qui est encore grave, écrit le journal, et tout triste, c’est qu’on assume cette « profanation » puisqu’on a eu l’indécence de la clamer haut et fort au cours d’un point de presse.
"Quel paradoxe ! Nous ne cesserons jamais de condamner de tels actes qui tranchent toujours avec la nouvelle donne. Mais la mue tant attendue de Fabre n’aura pas lieu. Un grand gâchis pour notre chère République », souligne le journal.
56e anniversaire de l’indépendance: Réalisation de nombre de projets sociaux et économiques.
Projet d’appui à l’employabilité et l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (PAEIJ-SP), programme Assurance du Fonds national de la finance inclusive (FNFI), réhabilitation de l’aéroport de Niamtougou, usine d’assemblage de motos chinoises à Notsé, projet E-village... nouvelle aérogare de l’Aéroport international Gnassingbé Eyadema, etc. voilà des réalisations conçues pour répondre aux nombreuses doléances et défis des citoyens togolais en matière d’infrastructures, du social, de l’économique, etc, étale TOGO MATIN, Bi-Hebdo dans sa parution ce Lundi.
RD Congo: Papa Wemba n'est plus, vive l’artiste
Jules Shungu Wembadio Pene Kikumbade de son vrai nom est décédé à Abidjan dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 avril, mais il ne disparaît pas pour autant de la mémoire des millions de mélomanes à travers le monde, et particulièrement en Afrique, qui ont été bercés par la voix ténor et suave de l’illustre disparu.
L A
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