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Revue de presse du 09 Février 2016

Togo -
Pascal Bodjona, la mauvaise gouvernance, la justice, l’élection prochaine à la fédération togolaise de football (Ftf) sont des sujets prioritaires dans les colonnes des journaux.
Des prisonniers personnels de Faure Gnassingbé : A quand la libération de Kpatcha Gnassingbé et compagnons et des détenus dans l’affaire des incendies ?, écrit LIBERTE, quotidien privé.

Selon Liberté, Pascal Bodjona a recouvré sa liberté le samedi 06 février dernier, après près de 18 mois passés à la prison (…). Est-ce la première d’une bonne série concernant les prisonniers personnels de Faure Gnassingbé ? S’il y a quelqu’un dont la situation vient tout de suite à l’esprit, c’est Kpatcha Gnassingbé et codétenus

Mauvaise gouvernance au Togo : La Haute autorité de lutte contre la corruption, une institution de façade, fait savoir Liberté dans un autre article à la Une.

Les institutions de lutte contre la corruption vont-elles se suivre et se ressembler au Togo ? Le pays a encore raté l’occasion de figurer parmi le reste des pays dont le budget annuel dépasse la barre des 1000 milliards de fcfa. Et pourtant, ce ne sont pas les ressources qui manquent Beaucoup avaient pensé qu’avec la mise en place de la Haute Autorité par Faure Gnassingbé les pots-pourris et les dénonciations des médias feraient bouger les lignes. Mais on réalise que l’objectif poursuivi par Faure Gnassingbé n’est pas obligatoirement les résultats, lorsqu’on entend par exemple dire que des juges anti-corruptions ont été formés par les Américains et qu’aucun ne figure parmi les structures en charge de la lutte contre la corruption, note le journal.

Libre comme le vent/Pascal Bodjona : Ses amis jubilent, ses ennemis sont furieux, rapporteL’INDENPENDANT EXPRESS, Hebdo.

«On ne peut pas, dit-on, plaire à Dieu et au monde. Dans les moments de gloire et de détresse, il y a plusieurs courants : ceux qui s’en réjouissent et applaudissent pour le premier cas, ceux qui grincent les dents pour le second. Pascal A. Bodjona a vu de toutes les couleurs du genre humain. Son étape qualifiable de zone de turbulence de la vie lui devrait permettre de connaitre le genre humain qui se résume à l’hypocrisie. Après plus de 500 jours passés derrière les barreaux, il s’en est sorti, n’en déplaise à ceux qui se réjouissent de l’avoir quand même arrêté, pour atteindre l’objectif de l’humiliation. Plus fort et plus dynamique que jamais, la libération de Pascal Bodjona n’est pas du goût de tout le monde. Alors que ses amis, proches et sympathisants jubilent de joie et d’allégresse, ses ennemis, grincent les dents et se rongent de colère. Accusé d’escroquerie internationale dans une affaire qui cache un acharnement politique, le politicien togolais a mené un combat contre une justice aux ordres pendant plus de 4 ans avant d’avoir encore une issue, si elle est définitive. Chronique d’un chemin de croix d’un homme politique qui, malgré toutes les trahisons, a gardé la tête sur les épaules face à l’hypocrisie humaine », peint L’Indépendant Express.

Dans ses colonnes, le journal écrit/Bassin de retenue d’eau : Vive Centro-Vive Bassayi

Selon l’auteur de l’article, « si Faure Gnassingbé avait visité ce chantier (bassin de rétention d’Agbalépédogan) réalisé par la Société CENTRO avant la COP 21, son discours de circonstance n’aurait pas été le même.

Pour le journal, « le grand problème lié aux travaux publics au Togo est que les réalisations ne durent que le temps de l’exécution. Quelques mois. Ils se désagrègent avant même leur réception. Cela s’appelle faire long ».

L’ALTERNATIVE, Bi-Hebdo affiche à sa Une/Pascal Bodjona : Et maintenant ?; -la libération des autres détenus politiques s’impose

Pour le journal, « l’élargissement de l’ancien ministre défraie la chronique et amène à s’interroger sur le sort des autres détenus politiques ».

« La libération de Pascal Bodjona doit laisser présager un optimisme pour les avocats de ces nombreux détenus. Il faut que le pouvoir, dans un souci de décrispation de la tension, libère les autres prisonniers politiques », suggère le journal.

Mandat d’arrêt contre Guillaume Soro : La justice burkinabé résiste aux pressions politiques, note le journal.

« Au Burkina Faso, les juges s’opposent aux tentatives de manipulations politiques dans l’affaire du coup d’Etat manqué de septembre 2015. L’Intersyndicale des juges, constituée des trois syndicats du pays, a sorti un communiqué dans lequel elle est restée très jalouse de son indépendance, ferme voire menaçant à l’égard de l’exécutif.

Médias : La télévision LCF dans le viseur, informe l’Alternative, qui soutient d’après les informations en sa possession, qu’un plan secret est en cours d’élaboration pour conclure à un refus du renouvellement de sa fréquence.

Pour le journal, « le directeur de LCF, Luc Abaki qu’il a pu joindre à ce sujet, s’est dit étonné par cette information, car dit-il, les dossiers de la société dont il est le responsable sont en règle et ne souffrent d’aucune irrégularité tant vis-à-vis de la HAAC que de ‘ART&P

Affaire d’escroquerie internationale : Pascal Bodjona, libéré provisoire et non un acquittement, titre FORUM DE LA SEMAINE, quotidien privé.

Après 18 mois de détention à la prison civile de Tsévié, l’ex ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales, Pascal Bodjona, impliqué dans une affaire d’escroquerie internationale a été remis en liberté provisoire le samedi dernier. Cette libération, que beaucoup considèrent comme une faveur faite au ministre, n’est autre que l’application pure et simple du droit, c’est-à-dire l’application de l’article 113 alinéa 2 du code de procédure pénale par le juge en charge du dossier. Ce qui voudrait dire en d’autres termes que la procédure suivra son cours normal jusqu’à un procès pour que toute la lumière soit faite dans cette affaire, précise le journal.

Hôtel de la Paix/Sommés de quitter les locaux squattés : Les ex-employés de l’hôtel projettent manifester leur mécontentement, fait savoir Forum de la Semaine.

En effet, ayant pour domicile les locaux de l’hôtel depuis sa fermeture, ces employés digèrent mal le fait qu’on leur demande de quitter les lieux. C’est ainsi qu’ils prévoient une manifestation dans les jours à venir histoire de se faire entendre par le gouvernement afin que leur situation soit régularisée, lit-on dans le journal.

L AT