« Insécurité grandissante : quand l’inaction du gouvernement conduit à la vindicte populaire », affiche LIBERTE à sa Une.
« Devant l’inaction du gouvernement, la vindicte populaire se généralise et se banalise. (...). Pourtant, c’est un danger de voir s’installer dans un pays, la pratique de la vindicte populaire, puisqu’elle ne tient pas compte du respect des droits de l’Homme. (…). Il est impérieux que les autorités œuvres pour la sécurité des populations, seule voie à même de mettre un terme à la vindicte populaire », écrit l’auteur de l’article.
« La sécurité c’est plus la protection des personnes et des bien que la traque des vendeurs de carburant illicite », a-t-il souligné.
L’UNION dans sa parution Numéro 860, revient aussi sur la l’insécurité grandissante à Lomé et titre : « Insécurité dans les rues de Lomé : Arnaqueurs, pickpockets et agresseurs à l’œuvre ».
Selon le bi-hebdo, « les phénomènes d’arnaque et d’agression se multiplient à Lomé en ce dernier trimestre de l’année. Malgré les mesures prises par les autorités, la mobilisations des populations obligées parfois de passer à la vindicte populaire, rien n’arrête ces bandits de grands chemins qui opèrent souvent à visage découvert ».
Sport, « Football/ préliminaires coupes du monde 2018 : Tom Sainfiet convoque tout le monde contre l’Ougadan », affiche le bi-hebdo dans ses colonnes.
« Tom Saintfiet le sélectionneur de l’Equipe nationale du Togo a convoqué 23 joueurs pour la double rencontre entre les Eperviers du Togo et les Cranes de l’Ouganda, comptant pour le 2e tour des préliminaires de la Coupe du Monde de la FIFA, Russie 2018 », rapporte l’auteur de l’article.
« Ces Zedman venus de l’intérieur qui prennent d’assaut la capitale », lit-on dans les colonnes de l’hebdo LE CANARD INDEPENDANT.
Selon l’auteur de l’article, « dans les années 2000, la plupart des « zedman » sont de Lomé où migrent dans la capitale togolaise pour exercer ce travail. Aujourd’hui, il y a un autre genre qui se crée. Ces nouveaux zedman viennent des autres villes de la région maritime. Ils viennent de Tsévié, Anfoin, Ahépé, Zafi, Kévé, Vogan et Aného ».
« La particularité de ces nouveaux zedman, est qu’ils n’ont pas de maison à Lomé, ils y viennent, avec plusieurs habits attachés à côté de leur moto et y restent plusieurs jours », écrit l’auteur du journal.
« Menace contre la liberté de presse au Togo : UPF adhère à la demande d’une seconde relecture de l’article 497 du code pénal », écrit Le Canard Indépendant dans ses colonnes.
Selon l’hebdo, « dirigé par le journaliste sénégalais Mamdialba Diagne, le bureau de l’UPF (Union de la presse francophone) s’est prononcé favorablement en faveur d’une seconde lecture de la loi, qui permettrait de dissiper les inquiétudes ».
Revenons sur le terrain de la politique, L’EVEIL DE LA NATION affiche dans ses colonnes : « Politique : ANC confirme son égoïsme en s’autoproclamant opposant honnête et sincère ».
« L’ANC doit arrêter de se moquer des togolais et se mettre en ordre de bataille avec le pouvoir en place pour faire face aux réels défis de la population. C’est seulement en faisant ça qu’ils réussiront à redorer leur blason, au lieu de saouler les Togolais avec des discours qui n’ont pas plus de fondement que de raisons», soutient l’auteur de l’article.
« Alternance politique au Togo : Djimon Oré croit avoir « la solution idéale », écrit le journal.
« Alors que presque toute l’opposition s’accorde à prôner l’union afin de faire face au régime en place, le président du Front des Patriotes pour la Démocratie (FPD) Djimon Oré, revient créer la surprise en proposant de balayer du revers de la main tous les leaders de cette opposition », rapporte l’auteur de l’article.
VISION D’AFRIQUE titre dans ses colonnes : « menaces sur le littoral togolais : le monstre silencieux qui sème la désolation dans le village Agbavi ».
« Depuis une vingtaine d’années, les populations d’Agbavi assistent avec impuissance à l’avancée de la mer et à l’érosion de sa côte. La mer gagne entre 5 et 10 mètres par an. Aujourd’hui, il reste moins de 2, 5 km de terre ferme sur laquelle sont confinés les habitants du village. (…). Ce phénomène physique n’est pas sans incident sur la qualité de vie des populations et sur l’équilibre naturel », relate le journal.
AKG
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