Licenciement abusifs à l’hôtel Palm Beach. Délégués et employés licenciés pour "motifs économiques" alors que règne la gabegie sous Myrna Tabchoury, écrit LIBERTE à la Une.
-En quatre mois, l’hôtel a réalisé plus de 500 millions de chiffres d’affaires.
"Plus les jours passent, plus on se demande s’il existe encore un code du travail au Togo. A l’hôtel Palm Beach, une trentaine d’employés parmi lesquels des délégués sont licenciés par Myrna Tabchoury, gérante de l’hôtel pour motifs économiques après que ceux-ci, conformément à la Convention collective des hôtels, une convention à laquelle la dame dit n’être pas liée., ont réclamé et obtenu le versement des primes de nourriture et de transport. Et des droits unilatéraux sans aucune base de calcul sont versés aux employés qui peinent à entrer en possession de leur chèque du solde de tout compte, en attendant l’issue des recours devant les autorités compétentes", révèle Liberté.
Le journal s’est également intéressé au coup de gueule des Eperviers du Togo. Sélection nationale togolaise : Les Vérités des Eperviers dans une lettre ouverte adressée aux acteurs du football
"Nous sommes fatigués, cette pièce de théâtre dure depuis trop longtemps, et nous ne voulons plus en faire partie", cite le journal.
Election à la togolaise dans l’espace CEDEAO: Le Togo de Faure Gnassingbé "contamine" la Guinée et la Côte d’Ivoire… ", apprend-on également dans Liberté de ce jour.
L’EQUIPE SPORTIVE revient sur la lettre des Eperviers du Togo et titre : Football togolais/Inaction et amateurisme: Ras-le-bol des Eperviers.
"Il se prononce rarement sur les conditions dans lesquelles la sélection togolaise et parlant le football togolais est géré. Ancien capitaine des Eperviers, désormais arborant une tunique de l’un des leaders de cette sélection togolaise, Serge Akakpo et l’ensemble des joueurs de l’équipe fanion du Togo ne digèrent pas l’inaction et l’amateurisme qui fait son lit autour d’eux et qui ne permettent pas à cette sélection mondialiste en 2006 d’aller de l’avant. De l’annulation du dernier match amical contre l’Egypte aux impayés du coach Tom Saintfiet en passant par la question des primes des matches amicaux, la programmation des matches du deuxième tour des éliminatoires du Mondial 2018 contre l’Ouganda, les équipements et l’état piteux de la pelouse du stade de Kégué qui accueille les grandes rencontres des Eperviers, Akakpo n’a pas caché le ras le bol total des Eperviers sur les risques qu’on leur fait courir pour enfin les placer dans des conditions à la limite de la médiocrité. Du Comité de normalisation, au ministère des Sports, celui des Finances et de tout le sommet de l’Etat togolais, tout le monde est interpell et chacun doit de s’en tenir à ce qui le concerne pour corriger les choses autour de la sélection nationale et permettre à ces rapaces du Togo de redécoller pour faire vivre au pays une nouvelle épopée enviable des éliminatoires de la Can 2017 eu du Mondial 2018 comme ce fut le cas pour celles de 2006 », écrit le journal.
08 octobre 2005-08 octobre 2015 : Il y a 10 ans la qualification de la "malédiction", titre par ailleurs le journal.
"Le 08 octobre dernier, les historiens du football togolais et aussi africain et mondial pourront se remémorer de la fabuleuse et surprenante qualification d’un petit pays de football sur la côte ouest africaine, le Togo pour le Mondial 2006. 10 ans après, qu’est-ce qu’on a pu tirer d’une telle qualification ? Rien ", note le journal.
L’ALTERNATIVE dans les kiosques ce mardi revient sur les 5 ans de l’Anc et titre à sa une :
« 5e anniversaire de l’Anc : Entre espoir et désillusion, la nécessité de tourner la page du populisme pour une stratégie efficace de conquête du pouvoir ».
Pour le journal, "l’Anc doit faire son autocritique et redéfinir de nouvelles stratégies qui rassurent les populations quant à sa capacité de conquérir réellement le pouvoir, au risque de perdre aussi le terrain comme d’autres partis qui ne se résument aujourd’hui qu’à leur leader. (…). Plus loin, l’auteur de l’article conclut en ces termes: "Est-il encore opportun de rappeler que dans le contexte togolais, ce n’est pas le régime anachronique et moribond qui est fort comme le prétendent certains, mais c’est l’opposition qui manque cruellement de méthodes et de stratégies "
Le Coup de gueule de Serge Akakpo & Cie: Les Eperviers menacent de boycotter la double confrontation de novembre prochain contre l’Ouganda, titre en outre le journal.
Le licenciement à l’Hôtel Palm Beach fait aussi la Une de l’Alternative. "Hôtel Palm Beach : Mme Mirna Tabchoury licencie abusivement 27 employés ".
« Au total 27 agents sont "abusivement" licenciés, sous les regards impuissants ou plutôt complices des autorités togolaises qui se passent pour les chantres du travail décent. Mais, les victimes de ce licenciement abusif ne comptent pas désarmer. Ils promettent user de toutes les voies pour obtenir justice », fait savoir l’Alternative.
Des employés licenciés dénoncent la gestion moyen âgeuse et hitlérienne de la gérante Myrna Tabchoury, met à la Une, LE MEDIUM de ce mardi.
"Une trentaine d’employés de l’Hôtel Palm Beach de Lomé, virés ces dernières semaines, sont montés au créneau hier lundi lors d’une conférence de presse, pour dénoncer un licenciement "abusif" et réclamer leurs droits", rapporte le journal.
Le Médium qui reçoit comme Invité de la Semaine Agbéyomé Kodjo qui dit : "C’est le manque de respect au sein de l’opposition, grevé de l’absence de courtoisie républicaine, qui nous ont amenés à la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui "
L’UNION POUR LA PATRIE consacre de son côté à sa Une, un article sur le sommet de l’UA.
En attendant le sommet de l’UA sur la sécurité maritime en 2016 : Le Togo veut également la Francophonie pour 2018
Face aux licenciements abusifs à l’Hôtel Palm Beach : Les employés demandent une intervention du gouvernement, écrit aussi le journal.
L. A T
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