Élections: le ministère de l’Intérieur dément l’usage de la violence contre les partisans du boycott
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Maroc
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Politique
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Les élections tiendront l’actualité en haleine jusqu’au déroulement même des opérations de vote. Dans la journée d’hier, ce sont aussi des allégations de violences exercées par des forces publiques qui ont obligé le ministère de l’Intérieur à se fendre dans un démenti formel.
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A travers donc un communiqué, le ministère de l’Intérieur a tenu à apporter un démenti catégorique à ces accusations de violence dont les forces publiques auraient eu recours à l’encontre d’un groupe d’adhérents à un parti politique, colportées par des journaux et certains médias en ligne.
"Le ministère de l’Intérieur dément catégoriquement tout usage de la violence par les forces publiques et souligne que tout ce qui a été attribué aux services de sécurité reste infondé et non crédible", pouvait-on lire dans ce document du ministère de l’Intérieur.
Ces allégations incriminées par les autorités marocaines sont relatives à l’arrestation de plusieurs militants du parti marxiste, Annahj Addimocrati, suite à une manifestation que le parti aurait organisé dimanche dernier pour appeler les Marocains à boycotter les élections communales et régionales qui auront lieu le 4 septembre prochain, à travers tout le pays.
En attendant les opérations de vote, tous les regards sont tournés vers les autorités publiques pour voir si elles accepteraient libérer ces citoyens marocains avant les opérations de vote.
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