Vous etes sur la version ARCHIVES. Cliquez ici pour afficher la nouvelle version de iciLome.com
 1:41:30 PM Jeudi, 25 Avril 2024 | 
Actualité  |  Immobilier  |  Annonces classées  |  Forums  |  Annuaire  |  Videos  |  Photos 


Les quotidiens burkinabè se focalisent sur les élections d'octobre prochain

Burkina-Faso - Societe
Les quotidiens du Burkina Faso ont abordé ce vendredi des sujets ayant trait aux futures élections (présidentielle et législatives) devant mettre un terme à la période transitoire dans le pays.

Aujourd'hui au Faso, quotidien privé, pose cette interrogation à sa Une : ‘'Conseil constitutionnel : Qui seront les recalés ?‘', parlant des candidatures à la présidentielle du 11 octobre prochain au Burkina Faso.

Selon le journal, c'est en principe aujourd'hui vendredi à minuit, que les portes du Conseil constitutionnel (CC) seront fermées aux éventuelles candidatures à la présidentielle du 11 octobre 2015.

"Le ballet des dépôts avait été ouvert, on s'en souvient, par Ram Ouédraogo, un habitué des présidentielles, puisque depuis 1998, l'enfant de Arbolé essaie de s'installer à Kosyam (nom du palais présidentiel, Ndlr), en sollicitant le suffrage universel'', renseigne le journal.

Il (le journal) cite, entre autres candidatures déposées au CC, celles de Ablassé Ouédraogo, de Zéphirin Diabré, de Eddie Komboïgo, de Saran Sérémé, de Roch Marc Christian Kaboré.

De son côté, L'Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, montre à sa Une, les photos de la quinzaine de candidats ayant déposé, pour le moment, leurs candidatures, avec au centre de l'image, le président du Conseil constitutionnel. L'article est intitulé: ‘'Listes de candidatures : Casse-tête constitutionnel''.

Pendant ce temps, le quotidien national Sidwaya évoque le recours en invalidation de certaines candidatures du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) en titrant : ‘' Le Conseil constitutionnel juge le recours irrecevable‘'.

Quant au journal privé Le Quotidien, il affiche à manchette : ‘'La loi autorise qu'on juge quelqu'un à son absence‘'.

Notre confrère reprend ainsi, les propos du procureur général près la Haute cour de justice (HCJ), Armand Ouédraogo qui se prononce, dans une interview, au sujet des mises en accusation des dignitaires de l'ancien régime.

Le journal Le Pays revient sur le premier colloque panafricain de la jeunesse, tenu la semaine dernière à Ouagadougou, en mettant en exergue Dakiri Sawadogo, un des participants qui dit que : ‘'Les jeunes doivent éviter d'être les griots des partis politiques''.