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Revue de presse du mardi 3 février 2015

Togo - Societe
Le récent communiqué de la cour constitutionnelle sur la date du scrutin et le dépôt des dossiers de candidature défraient la chronique dans les journaux parus ce jour.
L’Alternative titre à sa tribune « Présidentielle 2015, la Cour constitutionnelle fixe le délai au 5 mai ».

Pour le journal, « dans une confusion bien entretenue par le pouvoir, la Cour constitutionnelle aux ordres du locataire du palais de la Marina vient de déclarer, dans un communiqué en date d’hier, que la présidentielle aura lieu entre le 17 février et le 5 mars prochain ».

Liberté quant à lui précise que «la révision des listes électorales prend fin le 23 février, Aboudou Assouma et son équipe sèment la confusion et font monter la tension, en fixant la date du scrutin présidentiel entre le 17 février et 5 mars».

« La Cour constitutionnelle précise que les candidatures doivent lui parvenir 45 jours avant le scrutin», ajoute-t-il.

Forum de la semaine rectifie le tir en écrivant que le corps électoral togolais est à convoquer au plus tard le 5 mars, selon le communiqué de la Cour constitutionnelle.

« L’un des acteurs clé du processus électoral et non les moindres, qu’est la cour constitutionnelle vient de situer l’opinion nationale et internationale sur la tenue de l’élection présidentielle de cette année au Togo, en posant le canevas dans lequel ce scrutin pourrait se tenir, probablement mi-avril avec la convocation au préalable, du corps électoral entre le 17 févier et le 5 mars 2015», renchérit le quotidien privé.

Pour L’Union pour la Patrie, il paraît évident qu’avant le 23 février 2015, date de la fin des opérations de révision des listes électorales dans la zone 3, la commission Electorale Nationale Indépendant(CENI) devra soumettre une date au gouvernement qui doit, à son tour, l’approuver en conseil des ministres.

« A la cour constitutionnelle, tout est fait sur la base de l’article 61 de la loi fondamentale « le scrutin est ouvert sur convocation du corps électoral par décret pris en conseil de ministres soixante(60) jours au moins et soixante quinze (75) jours au plus avant l’expiration du mandat du président en exercice », précise le journal.