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Agence congolaise de presse
Le ministre de l'Intérieur, de la sécurité, de la décentralisation et des affaires coutumières, Richard Muyel Mangeze a déclaré samedi que tout est mis au point, à ce jour, pour que les opérations de recensement administratif et de l' identification des nationaux se fassent avant les échéances électorales de 2016. Le ministre, Richard Muyej Mangeze, qui l'a annoncé dans une communication faite aux bourgmestres de communes et aux chefs de quartier de la ville de Kinshasa, a indiqué que le partenaire qui va accompagner le gouvernement dans la mise en oeuvre de ces opérations, est déjà sélectionné, à savoir, l'office national pour l'identification de la population(ONIP).Il a relevé en outre qu'on attend la nomination prochainement, par le Président de la République, des animateurs de cet office ainsi que la finalisation des procédés de financement avec le concours du partenaire qui a gagné le marché dans ce cadre.
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La Prospérité
Alors que Brazzaville continue d'expulser les Congolais de la RDC, en violation flagrante des traités internationaux, les autorités rd-congolaises se démènent pour faciliter la réintégration de plus de 145.000 compatriotes déjà expulsés à ce jour. Charles Naweji Mundele, Ministre des Affaires sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale, a, fort de sa mission, remis à chacun des retournés un colis contenant non seulement des vivres, mais aussi une somme de 18.000 francs congolais, soit 20 dollars américains. Il a été donné à La Prospérité d'apprendre que le site de Maluku sera fermé la semaine prochaine. S'agissant du retour des expulsés dans leurs provinces d'origine, le ministère des Affaires Sociales fait savoir que des dispositions ont été prises. Et de poursuivre que lundi, hier donc, le ministère de tutelle a payé les billets d'avion pour le retour des expulsés du Katanga, du Nord-Kivu, du Sud-Kivu ainsi que du Maniema.
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L'Avenir
Depuis le dimanche 10 février 2013, les autorités policières sud-africaines avaient mis la main sur un groupe de 20 rebelles congolais. Ils avaient fomenté un coup d'État contre le président Joseph Kabila et avaient promis la mort à plusieurs autres personnalités de la RDC . Aux dernières nouvelles, nous apprenons que ce procès qui a démarré hier lundi, a été renvoyé au lundi 28 juillet devant le tribunal de Pretoria. Il y a un temps pour toutes choses. Un temps pour comploter, un temps pour être jugé. C' est dans cette optique que l'on devra circonscrire le jugement, tant attendu, qui s'est ouvert hier à Pretoria, en Afrique du Sud. Ce procès de vingt Congolais accusés de complot visant à assassiner leur président Joseph Kabila Kabange devra de prime abord interpeller tous ceux qui voudraient voir la RDC couler. Fin
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