Revue de la presse ivoirienne du 22 juillet
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Côte D'Ivoire
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Societe
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Voici les principales informations de journaux ivoiriens parus mardi:
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FRATERNITE MATIN
Des coups de feu entendus dans le camp militaire de l' Établissement général des services (EGS) d'Abidjan à Marcory Zone 3 ont provoqué la panique dans ce quartier de la capitale économique ivoirienne lundi autour de 8 h (locale et GMT). Selon les informations recueillies sur les lieux, le général Soumahoro Gaoussou, commandant des Forces terrestres, devait participer, ce jour, à une double cérémonie de sensibilisation des ex-combattants au processus de réinsertion et la présentation officielle de leur interlocuteur direct, en la personne du lieutenant Tuo Souleymane. C'est donc pour empêcher la tenue de ladite cérémonie qui ne serait pas du goût de certains militaires que ce mouvement d' humeur a été enregistré. Armés de mitrailleuses, ils ont érigé un double barrage à chaque entrée du camp. Les passants ( automobilistes et piétons) ont tous été priés de faire demi-tour. Un élément du camp EGS qui se rendait à son service a été brutalisé et déshabillé par les manifestants. Son arme et son véhicule de service et autres biens lui ont été arrachés.
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L'INTER
C'est une coutume vieille comme le monde en Côte d'Ivoire. On crée des structures avec beaucoup de communication et après, on ne voit plus rien. Le ministère de l'Environnement, de la salubrité et du Développement durable dirigé par Allah Kouadio Rémi avait mis en son temps sur pied une structure chargée de lutter contre la pollution sonore. Un numéro vert défilait même à cette époque sur le petit écran de la télévision nationale pour inviter les victimes à se plaindre. La structure, dans ses attributions, devait faire en sorte qu'on dorme mieux dans nos communes et quartiers. Plus d'un an après, quel est le bilan ? Pas grand chose, pour ne pas dire rien. Nos communes sont toutes presque invivables, à l'exception de quelques quartiers cossus où roupillent ceux qui doivent régler nos problèmes. Trop de bruits. On installe les maquis (bars) et autres boîtes de nuit au mépris du droit à la quiétude des populations.
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NOTRE VOIE
Les fédérations du Front populaire ivoirien (FPI) des régions de Gountougo (Bondoukou) et du Bounkani (Bouna), dans le nord-est, ont rendu visite au président de leur parti, Pascal Affi N'Guessan, dimanche à Abidjan. M. Affi a saisi cette occasion pour appeler les militants à la sérénité face à la tempête qui secoue le FPI. Après avoir donné les raisons du réaménagement du secrétariat général, il a invité ses camarades militants des 9 fédérations de Bondoukou et Bouna à garder espoir pour une issue heureuse de la crise interne au FPI. "Je n'ai jamais mis au devant l'intérêt personnel.Soyez sereins ! Ne vous inquiétez pas ! Tout le monde veut le bien du FPI. Je ne saurais brader les intérêts du FPI", a- t-il rassuré. Le président du FPI a demandé aux militants d'être soucieux du respect des textes du parti. Fin
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