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Agence congolaise de presse
Le ministre des Médias, chargé des relations avec le Parlement et de l'initiation à la nouvelle citoyenneté, Lambert Mende Omalanga, a procédé samedi, au Centre Caritas, à Kinshasa, à l' ouverture des travaux du 8ème Congrès de l'Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC), que cette corporation de presse organise pendant trois jours avec l'appui financier du gouvernement..Ce congrès, auquel participent les professionnels des médias venus de toutes les provinces du pays, va entre autres élire les nouveaux dirigeants de cette corporation, passer en revue tous les problèmes liés à l'exercice de la profession de presse en RDC, s' engager dans les nouvelles voies susceptibles d'éliminer les principales pesanteurs et promouvoir ce métier. Le ministre des Médias a salué, à cet effet, ce cadre choisi pour jeter un regard non seulement rétrospectif mais surtout introspectif sur le fonctionnement de l'espace médiatique du pays. "Depuis deux décennies, les médias ont proliféré de façon exponentielle en RDC. La force est de constater cependant que la qualité n'a pas suivi la même courbe. Les plaintes enregistrées au quotidien en témoignent. Des moutons noirs ont littéralement pris d'assaut la profession et ternissent gravement l'image d'un métier noble, Ils fonctionnement en toute illégalité, sans dossier administratif, sans adresse connue, se spécialisant dans la calomnie, la diffamation et le chantage", a déploré le ministre Mende, appelant les membres de la presse à lutter contre ce fléau.
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La Prospérité
Ce n'est pas parce qu'il en veut à Lisanga Bonganga et son " Front Populaire". Ce n'est pas non plus parce qu'il ne partage pas les mêmes objectifs. C'est seulement parce qu'il se dit non intéressé que Idambituo Bakaato Jean-Baudouin décline les fonctions lui confiées au sein du Front Populaire, la nouvelle venue comme plateforme dans l'arène politique congolaise. Tout ce qui le préoccupe, actuellement, c'est l'unité de l'Opposition républicaine, derrière Kengo, naturellement. Sa longue expérience, qui lui donne l'avantage de la connaissance des hommes et des événements, lui interdit de faire de la transhumance politique. Pas surtout, en ce moment post-concertations nationales. Idambituo, se confiant en personne à La Prospérité, affirme qu'il n'a nullement l'intention de faire carrière dans une opposition sans issue. Il voudrait, seulement, apporter sa contribution à la construction de la Nation, dans le strict respect de sa convenance personnelle. Ainsi, préfère-t-il rester dans son rôle de médiateur pour tenter de réconcilier les différents acteurs de l'Opposition républicaine qui regardent, désormais, dans des directions différentes.
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L'Avenir
A travers cette interview, la position de la Majorité présidentielle (MP) est désormais connue. Joseph Kabila et la MP vont respecter scrupuleusement la constitution qui, du reste, doit être révisée pour s'adapter à la réalité. Mais pour de grandes options, le peuple sera consulté par voie référendaire. Quant à l' Assemblée nationale, elle doit relever un défi, celui de rattraper le retard, en optant les grandes options que la CENI lui a présentées, afin d'organiser rapidement les élections. Aubin Minaku a aussi souligné qu'il n'y avait pas de crise majeure au sein de la MP, ni d'inimitié entre lui et l'actuel Premier ministre. Les deux personnalités ont une caractéristique commune, celle de travailler sous les commandes et pour la réussite du chef de l'Etat Joseph Kabila.Dans une interview à la presse, Aubin Minaku Ndjalandjoko, Président de l'Assemblée nationale et Secrétaire général de la MP, famille politique dont le chef de l' Etat est l'Autorité morale, a effectivement sorti les griffes de son chef, en donnant la position de sa famille politique par rapport aux enjeux de l'heure relatifs à la révision constitutionnelle, l'organisation des échéances électorales (2013- 2016). Fin
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